4 Analyse financière Chapitre1
特许金融分析师是做什么的

特许金融分析师是做什么的特许金融分析师(CFA)是什么CFA全称Chartered Financial Analyst (特许金融分析师),是全世界投资业里最为严格与含金量最高的资格认证,被称为金融第一考的考试,为全世界投资业在道德操守、专业标准及知识体系等方面设立了规范与标准。
自1962年设立CFA课程以来,对投资知识、准则及道德设立了全世界性的标准,被普遍认知与认可。
《金融时报》杂志于2006年将CFA专业资格比喻成投资专才的“黄金标准”。
CFA考试由谁组织的主办CFA考试和授予CFA特许状头衔的机构是总部位于美国的CFA协会(CFA Institute),由全世界性投资专业人士会员组成,属于全世界非盈利性专业机构,具有悠长的历史,负责活着界范围内主办CFA 考试,并为全世界金融投资界制定表现职业道德的专业准则。
CFA协会于1962年设立的CFA考试课程,专为投资专家、证券分析师、基金管理人和投资顾问而设,自学考试课程达到研究生水平。
其考试重点是国际最前沿的金融理论和技术,范围包括投资分析、投资组合管理、财务报表分析、企业财务、经济学、投资表现评估及专业道德操守。
CFA资格证书被授予普遍的各个投资领域内的专业人员,包括基金领导、证券分析师、财务总监、投资顾问、投资银行家、交易员等等。
CFA考试的三个级别CFA考试内容分为三个不同级别,别离是方式是Level I、Level II和Level III。
考试在全世界各个地址统一举行,每一个考生必需依次完成三个不同级别的考试。
CFA资格考试采用全英文,候选人除应掌握金融知识外,还必需具有良好的英文专业阅读能力。
顺利通过CFA课程即是达到一种成绩,能取得雇主、投资者和整个投资界的高度尊重。
随着CFA考试参考人数的不断增加,“投资管理与研究协会”自2003年起,将Level I考试由每一年一次增加为每一年两次,除5月/6月在全世界160个考点举行一次外,2003年12月将在包括新加坡、中国等考生较为集中的23个地域再举行一次。
cfa一级考点大全

cfa一级考点大全
CFA一级考试涵盖了许多不同的主题和领域,以下是一些主要的考点:
1. 伦理和专业行为,包括职业道德、法规遵从、投资建议、诚实和诚信等方面的内容。
2. 数学和统计学,包括概率论、统计学、线性回归等数学和统计学的基本概念。
3. 财务报表分析,包括资产负债表、利润表、现金流量表等财务报表的分析和解释。
4. 企业财务,包括财务管理、资本预算、成本管理等企业财务方面的知识。
5. 证券市场,包括股票、债券、衍生品等各种证券及其市场的基本知识。
6. 宏观经济学和微观经济学,包括宏观经济学的基本概念和微
观经济学的供求关系、市场结构等内容。
7. 配置投资组合,包括资产配置、投资组合管理、风险管理等方面的知识。
8. 估值和资产定价,包括股票估值、债券估值、期权定价等方面的知识。
以上列举的仅仅是CFA一级考试的一部分考点,考生还需要深入学习和掌握更多的内容,才能顺利通过考试。
希望这些信息能对你有所帮助。
fintrac简介

fintrac简介
FINTRAC是加拿大财务情报单位(Financial Transactions and Reports Analysis Centre of Canada)的简称,是一家由加拿大政府负责监管反洗钱和反恐怖融资事务的机构。
FINTRAC的主要职责是监督金融机构和其他指定行业的交易活动,以防止非法资金流入加拿大,并且及早识别和报告可能与恐怖主义有关的可疑交易。
根据《反洗钱和反恐融资法》(AML/CTF) 的规定,所有金融机构和其他指定行业从业者都必须向FINTRAC报告可疑交易
或交易行为。
FINTRAC的使命是为了确保加拿大的经济和金融系统不被用于非法活动,同时也为打击恐怖主义提供支持。
Analyse financière法语 金融分析 会计类

Cours de Philippe BouthrayAnalyse financière et gestion budgétaireersemestreCours de Philippe BouthrayAnalyse financière et gestion budgétaireAES Licence 1ersemestre31I les principaux flux :Les flux de trésorerie représentent la différence entre les encaissements et les décaissements, donc :Var T = Var BFRNG – Var BFROn distingue trois flux :A : le flux de trésorerie lié à l ’activité (FNTLA).Ce flux représente la différence entre les encaissements liés à l ’activité et les décaissements liés à l ’activité.Ce flux est calculé à partir de la CAF à laquelle on apporte quelques corrections. En effet on soustrait à la CAF précédemment obtenue (voir les chapitres précédents) les variations de stock n ’ayant pas d ’effet sur la trésorerie.FNTLA = Produits de gestion encaissés – Charges de gestion décaisséesLes produits de gestion encaissés en N = Produits encaissables (dans la CAF) – Créances de find ’année + Créances de début d ’année. C ’est donc = Produits encaissables en N – Variations de créances.Les charges de gestion décaissées en N = Charges décaissables (dans la CAF) – Variation desdettes financières.Ainsi :FNTLA = Produits de gestions encaissés – Charges de gestion décaissées.= Produits encaissés – Variation de créances – (Charges décaissables – Variation de dettes) – Variation de stocks.= CAF – (Variation de créances + Variation de stocks – Variation de dettes) = CAF – Variation du BFR.Exemple :L ’entreprise Alpha vous communique la première partie de son tableau de financement pour l ’exercice N : On sait par ailleurs que la variation du BFR (qui relève en totalité de l ’activité) est de 105.Les disponibilités de l ’entreprise Alpha s ’élèvent à 5 pour l ’exercice N alors que leur montant était de 70 en N-1.En N, l ’entreprise a recours à des concours bancaires pour un montant de 30.Ainsi :FNTLA = 142 – 105 = 37Cette notion permet de savoir si les opérations de gestion améliorent ou détériorent la trésorerie.Si le FNTLA est positif c’est une amélioration, mais s’il est négatif cela signifie que plus l’entreprise travaille plus cela lui coûte de l’argent.B : le flux de trésorerie lié à l’exploitation.Ce flux est l’Excédent de Trésorerie d’Exploitation (ETE) :ETE = EBE – Var BFRESi cette valeur est négative la situation de l’entreprise est critique.C : le flux de trésorerie lié au financement et à l’investissement.Dans le calcul de ce flux il ne faut retenir que les recettes, donc :Ce flux = Ressources stables (sauf CAF) –Emplois stables –Var BFR liéàl’investissement et au financement.= Var FRNG – CAF – Var BFR lié à l’investissement et au financement.Dans l’exemple de la page 31 :Ce flux = 10 – 142 = - 132.On constate que l’investissement et le financement de cette entreprise ne lui rapporte pas d’argent mais lui en coûte, ce qui est normal compte tenu du fait qu’elle investie.II analyse de la liquidité :Une entreprise est dite ‘liquide’quand les ressources dégagées de ses opérations courantes lui permettent de faire face à ses échéances de court terme.Cela signifie que dans la formule vue précédemment FNTLA = CAF – Var BFR lié à l’activité, si la CAF est supérieure à la variation du BFR, alors l’entreprise est liquide.On admet qu’il faut inclure les remboursements d’emprunts dans les échéances àcourt terme. Ainsi donc, pour qu’une entreprise soit liquide il faut que :FNTLA – Remboursements de dettes financières > 0Au niveau de l’exploitation, une entreprise est liquide si :ETE – Remboursements des dettes financières – Intérêts courus – Impôts sur les sociétés > 0.III les tableaux de flux :Ils permettent tous de déterminer la variation de trésorerie d’une année sur l’autre et d’établir un diagnostique sur la situation de l’entreprise.。
cfa一级11月百题

cfa一级11月百题
11月的CFA一级考试中的百题主要涉及到金融市场和投资组合、伦理和专业行为、定量方法、经济学、财务报表分析、公司财务、
权益投资、固定收益投资和衍生品。
这些题目可能涉及到理论知识、计算题和案例分析题等多种形式。
在金融市场和投资组合方面,考题可能涉及资产定价模型、投
资组合理论、市场指数、风险和回报等内容。
在伦理和专业行为方面,可能涉及职业道德准则、道德决策、投资建议、客户关系等内容。
在定量方法方面,可能涉及概率论、统计学、回归分析等内容。
在经济学方面,可能涉及宏观经济学、微观经济学、国际贸易、货
币政策等内容。
在财务报表分析方面,可能涉及财务报表的分析、
财务指标、财务报表陈述、资产负债表和利润表等内容。
在公司财
务方面,可能涉及资本预算、成本资金、资本结构、分红政策等内容。
在权益投资方面,可能涉及股票和股票市场、股票估值、股票
发行和回购等内容。
在固定收益投资方面,可能涉及债券和债券市场、债券估值、利率风险管理等内容。
在衍生品方面,可能涉及期权、期货、互换合同、风险管理等内容。
因此,备考11月CFA一级考试的百题时,需要对以上各个领域
的知识有全面的掌握,并且要能够灵活运用这些知识解决实际问题。
建议考生多做练习题,加强对知识点的理解和应用,同时也要注重
对理论知识的记忆和理解,这样才能在考试中取得理想的成绩。
希
望以上回答能够帮助你更好地备考CFA一级考试。
常见金融术语英汉对照与详解

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)本成有持( yrraC-fo-tsoC )数因换转( rotcaF noisrevnoC )算清额净同合( gnitteN lautcartnoC )士瑞所交期洲欧( serutuF FNOC )易交续连( gnidarT suounitnoC )小大约合( eziS tcartnoC
)问顾易交品商( rosivdA gnidarT ytidommoC
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)扣折( gnitnuocsiD
)�行央国德�行银邦联志意德( knabsednuB ehcstueD
)格价算结日( ecirP tnemeltteS yliaD )算结日每( tnemeltteS yliaD
)金证保通流的前目( nigraM gnitadiuqiL tnerruC )求请叉交( tseuqeR ssorC )型模坦斯宾鲁-斯罗-斯克考( ledoM nietsnibuR-ssoR-xoC )权期购认兑备( llaC derevoC )方手对( ytrapretnuoC )度曲凸( ytixevnoC )换转( noisrevnoC )票息( nopuoC )险避叉交( egdeH ssorC )易交叉交( edarT ssorC
)约合月即( tcartnoC tnorF
)场市部内围范大( tekraM edisnI dednetxE )位仓行执( noitisoP desicrexE )权期行执( noitpO desicrexE )行执( esicrexE )除排( noisulcxE )认确行执( noitamrifnoC noitucexE )格价行执( ecirP desicrexE )期到( noitaripxE
)权期内价( noitpO yenom-eht-nI )码编别识券证际国( rebmuN noitacifitnedI seitiruceS lanoitanretnI )差价品产跨( daerpS tcudorp-retnI )品产间区( tcudorP lavretnI
金融finaunce财经

金融finaunce财经中文名:金融外文名:Finaunce,finance注音:jīnróng解释:货币的发行、流通和回笼相关作品:《国际的中国》英文缩写:FIN金融finaunce财经金融(专业词语汉语词语)金融指货币的发行、流通和回笼,贷款的发放和收回,存款的存入和提取,汇兑的往来等经济活动。
金融(FINANCE或FINAUNCE)就是对现有资源进行重新整合之后,实现价值和利润的等效流通。
(专业的说法是:实行从储蓄到投资的过程,狭义的可以理解为金融是动态的货币经济学。
)金融是人们在不确定环境中进行资源跨期的最优配置决策的行为。
引证解释金融1、指货币的发行、流通和回笼,贷款的发放和收回,存款的存入和提取,汇兑的往来等经济活动。
胡适《国际的中国》:“我们更想想这几年国内的资产阶级,为了贪图高利债的利益,拚命的借债给中国政府,不但苟延了恶政府的命运,并且破坏了全国的金融。
”丁玲《一九三○年春上海(之一)》:“许多大腹的商贾,和为算盘的辛苦而瘪干了的吃血鬼们,都更振起了精神在不稳定的金融风潮之下去投机。
”浩然《艳阳天》第七章:“银行的领导帮助他认识金融工作对恢复国民经济、建设社会主义的重要,他听进去。
”按照丁大卫的说法,古今中外黄金因其不可毁灭性、高度可塑性、相对稀缺性、无限可分性、同质性及色泽明亮等特性特点,成为经济价值最理想的代表、储存物、稳定器和交换媒介之一。
目录1引证解释2基本含义3核心元素4构成要素5金融稳定6改革要点7市场特征8理论比较9金融专业专业介绍就业方向10学术期刊出版信息编委信息。
CFA一级知识点总结最全

CFA一级知识点总结最全
1.伦敦银行同业拆借率(LIBOR):LIBOR是衡量银行间资金借贷成
本的利率,也是全球重要的基准利率之一
2.股票市场基础知识:包括股票的定义、类型、权益和价值、市场价
值计算、股票风险和回报等。
3.债券市场基础知识:债券的定义、类型、债券持有者的权益和责任、利率风险和违约风险等。
4.衍生品市场基础知识:包括期权、期货、互换和其他衍生工具的定义、种类、风险和应用。
5.投资组合管理:包括投资组合的种类、目标、限制、风险管理和绩
效评估等知识。
6.投资组合理论:包括现代投资组合理论、有效前沿、资本资产定价
模型和套利定价模型等。
7.金融市场和经济指标:包括金融市场的类型、功能、参与者和运作
机制,以及宏观经济指标的计算和解释。
8.估值和财务分析:包括公司估值、股票估值、债券估值、财务报表
分析和财务比率分析等。
9.风险管理:包括市场风险、信用风险、流动性风险和操作风险等风
险管理技术和工具。
10.伦敦巴塞尔委员会(BCBS)规则:包括资本充足率要求、风险权
重计算和监管规定等。
11.道德和专业行为:包括CFA协会的道德和专业行为准则,以及投资专业人士的职业道德标准。
以上是CFA一级考试的主要知识点总结。
考生需要熟悉这些知识点,并进行系统的学习和准备,以便能够顺利通过考试。
同时,还需要进行大量的练习题和模拟考试,提高自己的应试能力。
希望以上内容对CFA一级考试的备考有所帮助。
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Cours de Philippe BouthrayAnalyse financière et gestion budgétaireAES Licence 1er semestreL’analyse du résultatPour différencier les différents types d’entreprises :∙Les entreprises commerciales : on peut constater des comptes d’achats et de ventes de marchandises.∙Les entreprises industrielles : on peut constater des comptes d’achats de matières premières, de ventes et de stocks de produits finis.∙Les entreprises prestataires de services : il n’y a pas de compte d’achats de marchandises ou de matières premières, mais on trouve dans les produits des comptes « prestation de services ».Le coût d’achat des marchandise vendues = valeur d’achat +/- variation de stocks.Les types de subventions :∙Les subventions d’exploitation : elles sont versées à certaines entreprises qui ont un prix de vente inférieur au coût moyen de production.∙Les subventions d’investissement : ces subventions sont versées aux entreprises qui souhaitent faire des investissements propres (écologiques). Mais ces subventions sont imposées et doivent être reversées en partie chaque année dans le compte de résultat.∙Les subventions d’équilibre : elles sont versées entre la maison mère et ses filiales en difficulté.Le compte de transfert de charge rassemble toutes les charges qui ont étémal classées ou des charges trop importantes pour être portées que sur un seul exercice.Exemple :Charges d’exploitationCoût d’achat desmarchandises vendues∙Achats de marchandises ∙Variation des stocks demarchandises Consommation de l’exercice en provenance des tiers ¹∙Achats stockés d’approvisionnement∙Variation des stocks d’approvisionnement∙Achats non stockés (606)∙Services extérieurs(61;62)Impôts, taxes et versements assimilés (63)Charges de personnel (64) Dotations aux amortissements et provisions (68)110- 1020- 44064100120430086610Produits d’exploitationVentes de marchandisesProduction vendueMontant net du chiffre d’affairesProduction stockéeSubventions d’exploitation²(74)Reprise sur provisionsTransfert de chargesTotal260350260350610245306675Cours de Philippe Bouthray Analyse financière et gestion budgétaire AES Licence 1er semestreTotalCharges financièresIntérêts et chargesassimiléesCharges exceptionnelles Valeur comptables deséléments d’actif cédés (675)Participation des salariés aux fruits de l’expansion Impôts sur les bénéficesRésultat de l’exerciceTotal général32821221685Produits financiersAutres intérêts et produitsassimilésProduits exceptionnelsProduits des cessionsd’éléments d’actifQuote-part de subventionvirée au compte de résultatTotal général27128685¹Dont « Redevance de crédit-bail » : 12 (relative àun matériel de valeur 40, amortissable linéairement en 5 ans) et « Personnel extérieur » : 5.²Correspondent à des insuffisances de prix (quand le prix de vente est inférieur au coût moyen de production).Ici on constate qu’il y a des ventes de marchandises, l’entreprise est donc commerciale. Section 1 : les soldes intermédiaires de gestion (SIG).I les soldes intermédiaires de gestion du plan comptable :Ils ont été mis en place par le plan comptable de 1982, pour faire apparaître une suite de produits et de charges afin de mettre en évidence les étapes de formation du résultat.A : définition et mode de calcul des soldes intermédiaires de gestion.1. la marge commerciale et produit de l’exercice :a) la marge commerciale :La marge commerciale ne se calcule que dans les entreprises commerciales.La marge commerciale = Prix de vente des marchandises – Valeur d’achat desmarchandisesAttention : il faut penser à enlever les rabais, réductions et ristournes accordées à la vente.Ainsi pour la calculer on prend : ( 707 – 7097) – 607 +/- 6037.Dans l’exemple du tableau :La marge commerciale = 260 – (110 -10) = 160b) le produit de l’exercice :Le produit de l’exercice = Production vendues + Production stockée + Productionimmobilisée (production pour elle-même).Ainsi pour le calculer on prend : 70 - 709 + 713 + 72Dans l’exemple du tableau :Le produit de l’exercice = 350 + 24 + / = 3742. la valeur ajoutée :La valeur ajoutée = Marge commerciale + Production de l’exercice – consommation en provenance des tiers.La consommation en provenance des tiers est composée de :∙Les achats nets d’approvisionnement (ce sont les comptes 6 sauf le compte 607) auxquels on soustrait aussi les rabais, remises et ristournes (609).∙La variation de stocks (pour les comptes 6 sauf 607).∙Les autres charges externes (ce sont les comptes 61 et 62).Dans l’exemple du tableau :La valeur ajoutée = 160 + 374 – 120 = 414La valeur ajoutée permet d’apprécier le poids économique de l’entreprise dans le PIB, permet d’apprécier son développement, permet de connaître son développement et permet de connaître les méthodes et les structures d’exploitation de l’entreprise.Valeur ajoutée Production – Consommations=Production de l’exercice ProductionCe ratio est toujours inférieur à1. Quand ce ratio tend vers 1, quand les consommations sont faibles, on dit que l’entreprise est intégrée (elle fait tout elle-même).3. l’excédent brut d’exploitation (EBE) :L’excédent brut d’exploitation = Valeur ajoutée + Subventions d'exploitation(74) - Impôts/taxes (63) Charges de personnel (64).Dans l’exemple du tableau :EBE = 414 + 5 – 4 – 300 = 115Si la valeur est négative, c’est une insuffisance brute d’exploitation.L’excédent brut d’exploitation est ce qui reste effectivement de la valeur ajoutée à l’entreprise, c’est donc la ressource qu’obtient l’entreprise grâce à son exploitation. Cela permet de mettre en valeur les flux d’argent.Ici on ne prend pas en compte l’amortissement (la charge calculée), la politique financière et la politique fiscale, ce qui constitue un profond manque. Toutefois l’EBE, par ces manques permet de faire des comparaisons entre les entreprises dans l’espace (pays différents donc avec une politique fiscale différente mais ici ignorée).4. le résultat d’exploitation :Le résultat d’exploitation = EBE + Autres produits (75) + Reprises sur amortissements et provisions (781) + Transfert de charges (791) –Autres charges (65) - Dotations aux amortissements et provisions (681).Dans l’exemple du tableau :Le résultat d’exploitation = 115 + / + 90 + 6 + / - 86 = 655. le résultat courant avant impôts :Le résultat courant avant impôts = Résultat d’exploitation + Produits financiers (76 + 786 –796) - Charges financières (66 –686 desdotations).Dans l’exemple du tableau :Le résultat courant avant impôts = 65 + 2 -32 = 356. le résultat exceptionnel :Le résultat exceptionnel = Produits exceptionnels (77 + 786 + 797) - Charges exceptionnelles (67 et 687).Dans l’exemple du tableau :Le résultat exceptionnel = 8 – 8 = 07. le résultat de l’exercice :Le résultat de l’exercice = Résultat courant avant impôts + Résultat exceptionnel - Participation des salariés - Impôts sur les sociétés.Dans l’exemple du tableau :Le résultat de l’exercice = 35 + / - 2 – 12 = 21C’est le résultat diffusé auprès des tiers.B : le tableau des soldes intermédiaires de gestion.PRODUITS N CHARGES NSOLDES INTERME. DES EXERCICESNVentes de marchandises 260 Coût desmarchandisesvendues dans l’exercice100 Marge commerciale 160Production vendue Production stockée Production immobiliséeTotal 35024374ou déstockage de laproduction…Total Production de l’exercice374Production de l’exerciceMarge commercialeTotal 160374534Consommations del’exercice enprovenance de tiersTotal120120 Valeur ajoutée 414Valeur ajoutée 414 Impôts taxes et Excédent brut d’Subvention d’exploitationTotal5419versements assimilésCharges depersonnelTotal4300304exploitation (ouinsuffisance bruted’exploitation) 115Excédent brut d’exploitation Reprise sur charges et transferts de chargesAutres produitsTotal 11536151ou insuffisance bruted’exploitationDotations auxamortissements etaux provisionsAutres chargesTotal/8686Résultat d’exploitation(bénéfice ou perte)65Résultat d’exploitation(bénéfice)Quote-part derésul. suropérations faites en commun(bénéf)Produits financiersTotal 65267ou résultat d’exploitationQuote-part derésultat suropérations faites encommun (perte)Charges financièresTotal3232Résultat courantavant impôts 35Produits exceptionnels 8 Chargesexceptionnelles8 RésultatexceptionnelRésultat courantavant impôts(bénéfice)Résultat exceptionnel(bénéfice)Total 3535Résultat courantavant impôts (perte)ou résultatexceptionnel (perte)Participation dessalariés aux fruits del’expansionImpôts sur lesbénéficesTotal21214 Résultat de l’exercice21Produits descessions d’éléments d’actif (775) 7Valeur comptabledes éléments cédés(675)8Plus value oumoins values surcessions d’éléments d’actif1ENTREPRISE COMMERCIALE ENTREPRISE INDUSTRIELLEVentes de marchandisesCoût d’achatdes marchandises venduesMargecommercialeProduction de l’exerciceMarge commerciale + ProductionConsommations de l’exercice en provenancedes tiersValeur ajoutéeValeur ajoutéeSubven d’exploitImpôts, taxes,charges depersonnelExcédent brutd’exploitationExcédentbrut d’exploitationReprises surprovisionsDotationsaux amor etprovisRésultatd’exploitation Produits financiersChargesfinancières RésultatfinancierRésultat d’exploitation + résultatfinancier=Résultat courant avant impôtsProduits exceptionnelsCharges exceptionnellesRésultatexceptionnelRésultat exceptionnel + Résultatcourant avant impôtsImpôts sur lesbénéficesParticipationRésultat de l’exerciceII les soldes de la centrale des bilans de la Banque de France :La Banque de France propose une approche plus économique.La Banque de France souhaite comparer les entreprises, or d’après le plan comptable, une entreprise qui achète ses immobilisations et une autre qui les loue semblent identiques. De même qu’une entreprise qui emploie des intérimaires voit sa valeur ajoutée diminuer alors que celle qui a des salariés voit son EBE diminuer, mais cela ne change pas le résultat final. Il faut donc faire des retraitements.A : les postes à retraiter.1. les subventions d’exploitation (compte 74) :Les subventions d’exploitation sont versées en complément du prix de vente quand celui-ci est inférieur au coût moyen de production. Elles sont analysées comme un supplément de chiffre d’affaire et sont donc rajoutées àla marge brute d’exploitation.2. la sous-traitance (compte 611) :La sous-traitance va être enlevée globalement de la consommation des tiers selon le plan comptable. Ainsi les frais de sous-traitance sont retirés de la production de l’exercice pour obtenir un solde supplémentaire qui s’appelle la production propre.3. les redevances crédit-bail :Deux entreprises peuvent choisir de financer leurs immobilisations de façons différentes : soit en les achetant soit en les louant. Elles doivent donc avoir des valeurs ajoutées différentes.La Banque de France va traiter les entreprises qui louent leurs immobilisations comme si elles les avaient achetées en s’endettant, donc on doit enlever la redevance de crédit-bail et par contre on doit rajouter l’amortissement et les intérêts de l’emprunt fictif (la somme de ces deux éléments est du montant du crédit-bail). Le crédit-bail était dans les consommations en provenance des tiers, il doit donc être ventilé dans deux éléments : l’amortissement que l’entreprise devrait faire si elle possédait le bien et les intérêts de l’emprunt que l’entreprise aurait du contracter pour financer l’achat de l’immobilisation.Dans l’exemple du tableau page 6 :Il faut suivre les deux petites remarques qui sont reportées au bas du tableau, celles-ci stipulent que sur une redevance de 12, on a un amortissement linéaire sur 5 ans (la valeur d’achat du bien est de 40 donc 40/5 = 8) qui donne une dotation annuelle aux amortissements de 8 et des intérêts pour une valeur de 4.4. le personnel intérimaire (compte 621) :On veut rendre comparables les entreprises qui embauchent leur personnel (compte 64) et celles qui font appel àl’intérim (compte 621). La Banque de France va pour cela les réunir : le personnel intérimaire est retranchéaux consommations en provenance des tiers et rajouté au charge de personnel.B : les soldes des centrales des bilans.1. les différents soldes des centrales des bilans :2. les soldes globaux des centrales des bilans :Ces soldes permettent de prendre en comptes l ’ensemble des opérations de l ’entreprise pour connaître l ’enrichissement global de l ’entreprise. Pour calculer ces soldes on ne retient que les éléments encaissables et décaissables on ne prend pas les éléments calculés.SOLDESRESULTATSVentes de marchandises- Coût d ’achat des marchandisesMarge commercialeProduit de l ’exercice - Sous-traitanceProduit propreCoût d ’achat des matièresconsommées (Attention à la variation des stocks !)Marge sur produit propreMarge commercialeMarge brute d ’exploitation+ Subventions d ’exploitation Achats et charges externesValeur ajoutée de la centrale des bilans+ autres produits retraités (765;75) - autres charges retraitées - impôts et taxes - coût du personnelRésultat brut d ’exploitation+ transfert de charges+ reprise sur amortissement et provisions- dotations aux amortis. et provisions retraitéesRésultat net d ’exploitation260 - 100 160 374 - 0 374 - 16 358 160 5185- 87 (120 -16 -12 -5) pas de crédit-bail intermédiaire et16 pour provisions retraitées436 / / - 4- 305 (300 + 5 d ’intérimaires)127 6 30- 94 (86 + 8 d ’amortissement non compta)69Richesse totale crée par l ’entreprise pour l ’ensemble de son activité.Représentation schématique :Revenu réparti : 444.PersonnelEtatPrêteursParticipationdu personnelEntrepriseCharge du personnel 300 Personnel extérieur 5 Impôts et taxes 4 Impôt sur les sociétés 12 Intérêts 36 (32 + 4 du crédit-bail) Participation 2 CAF 85 Capacité d ’AutoFinanceme nt, c ’est ce qui reste à l ’entreprise.III exploitation des soldes intermédiaires de gestion :A : évolution de l ’activité.On calcule les variations en pourcentages sur les soldes intermédiaires.B : la structure de l ’activité.1. le taux de marge commerciale :Le taux de marge commerciale = marge commerciale / ventes mises hors taxesDans l ’exemple du tableau page 6:Le taux de marge commerciale = 160 / 260 = 60 %2. le taux de valeur ajoutée :Le taux de valeur ajoutée = Valeur ajoutée / Prix + vente de marchandisesDans l ’exemple du tableau page 6 :Taux de valeur ajoutée = 436 / ( 260 + 374 ) = 82 %SoldesExempleValeur ajoutéeAutres produits retranchés Autres charges retranchées + produits financiers encaissés- charges financières décaisséesCharges exceptionnelles décaissées 439 / / + 2 / / / Revenu réparti - impôts et taxes - coût du personnel 444 - 4 - 305 Résultat brut global 135On surveille ce ratio dans le temps, s’il varie c’est dûàune variation des conditions d’exploitation, des variations de prix (de ventes ou intermédiaires) ou de tout en même temps.3. études des moyens d’exploitation :C’est étudier si la main d’œuvre et l’équipement sont performants : on va alors calculer des ratios de productivité.La productivité du travail = Valeur ajoutée / Nombre de salariésOu = Valeur ajoutée des centrales des bilans / Effectif moyenPour les centrales des bilans : Effectif moyen = (Effectif du début + Effectif de fin) / 2La productivité du capital = Valeur ajoutée / Valeur brute des immobilisations Ou = Valeur ajoutée des centrales des bilans / Equipement moyenPour les centrales des bilans : Equipement moyen = (Equipement du début + Equipement de fin) / 24. étude de la rentabilité :C’est toujours un quotient entre un résultat et les moyens mis en œuvre pour l’obtenir.a) la rentabilité économique :En résultat on prend au numérateur l’EBE ou le résultat d’exploitation et au dénominateur les immobilisations et les Besoins en Fonds de Roulement et d’Exploitation. Cet indicateur permet de mesurer la performance de l’exploitation.b) la rentabilité financière :C’est rapporter le résultat net sur les capitaux propres. Si elle est supérieure àcelle du marché, il sera facile pour cette entreprise de trouver des capitaux.5. divers :Le ratio EBE / Chiffre d’affaire permet de mesurer l’aptitude de l’entreprise àgénérer du résultat à partir de ses ventes.Le ratio Charge d’intérêt / EBE permet de mesurer le poids de l’endettement de l’entreprise.Section 2 : la C.A.F. (Capacité d’AutoFinancement).I définition :C’est la ressource dégagée par l’entreprise au niveau de ses opérations de gestion. Ce n’est que de l’argent enregistré dans le compte de résultat sauf pour les opérations de cessions d’actifs.II le contenu :Du côtédes produits, on distingue ceux qui correspondent àdes rentrées d’argent (ventes de marchandises, production vendue, production stockée), ce sont des produits encaissables, et ceux qui correspondent àun flux de fonds (reprises, transferts de charges, cotes part de subventions…) ce sont des produits calculés.Du côté des charges, ont distingue les charges décaissables (les achats, les impôts, les charges de personnel) et les charges calculées qui correspondent àun calcul comptable (amortissements et provisions…).CAF = Produits encaissables (sauf produits de cessions d’actifs) – ChargesdécaissablesLa CAF est déterminée par les seules opérations courantes.III le calcul :A : à partir de l’EBE.CAF = EBE + Autres produits (comptes 75) + Transfert de charges (compte 791) + Produits financiers encaissables (76 et 796) + Produits exceptionnelsencaissables (comptes 77 sauf produits de cessions donc les 775 et 777 +le compte 797) –Charges diverses (65) –Charges financièresdécaissables (66) – Charges exceptionnelles (67 sauf 675) – Participationdes salariés – Impôts.Dans l’exemple du tableau page 6:CAF = 115 + 0 + 6 + 2 + 0 – 0 – 32 – 0 – 2 – 12 = 77.Pour la Banque de France, on part du résultat brut d’exploitation.Dans l’exemple du tableau page 6 :CAF de la Banque de France = 127 + 6 + 2 + 0 – 0 – 36 – 0 – 2 – 12 = 85.B : à partir du résultat.Quand on n’a pas les soldes intermédiaires de gestion, on n’a pas l’EBE, il nous faut alors partir du résultat pour obtenir la CAF.CAF = Résultat –Produits calculés (reprises d’exploitation, financières et exceptionnelles donc les comptes 775 et 777) + Charges calculées (les DAP d’exploitation, financières et exceptionnelles et 675).Dans l’exemple du tableau page 6 :CAF = 21 – 30 – 7 – 1 + 86 + 8 = 77.Pour la Banque de France on obtient dans l’exemple du tableau page 6 :CAF de la Banque de France = 21 – 30 – 7 – 1 + 94 + 8 = 85IV l ’intérêt de la CAF :A : l ’autofinancement.L ’autofinancement est ce qui reste effectivement à l ’entreprise à l ’issu de l ’exercice après avoir rémunéré (éventuellement) les actionnaires. Il est donc égal à :Autofinancement = CAF de l ’année N – Dividendes versés en N.Les dividendes versés en N sont prélevés sur le résultat de N-1.B : la capacité de remboursement :Dettes financièresCapacité de remboursement =CAFLes banques ne prêtent que tant que ce ratio est supérieur à 3.Plus une CAF est faible, plus l ’entreprise est en difficulté, car on ne peut pas redistribuer de dividendes aux actionnaires ce qui entraîne généralement une fuite des capitaux propres et une CAF faible constitue un trop grand risque pour les banques qui ne prêtent pas. Ainsi, généralement, les entreprises qui se trouvent dans cette situation s ’inscrivent dans un cercle vicieux dont il leur est difficile de sortir.Section 3 : analyse différentielle.Les charges de la comptabilité générale vont être reclassées en charges variables et charges fixes. Cette analyse permet de déterminer un seuil de rentabilité et de faire des prévisions sur le résultat.Exemple :L ’entreprise Morlaux vous communique son résultat courant :Charges ProduitsAchats de marchandises 1 427 Variation du stock de marchandises - 17 Achat d ’approvisionnements 120 Variation du stock d ’approvisionnement 5 Achats non stockés 62Services extérieurs 183Impôts et taxes 128Charges de personnel 370Charges financièresVentes de marchandises (100 x 28) 2 800 Ventes d ’emballages 12 Autres produits d ’exploitation 15 Produits financiers 513DAP 61Total des charges 2 352 Solde créditeur 480 Total général 2 832Total des produits 2 832 Total général 2 832Les éléments financiers sont fixes ainsi que les autres produits d ’exploitation.I le comportement des charges :A : les charges variables.Ce sont des charges proportionnelles au niveau d ’activité, donc au chiffre d ’affaire. CV (charges variables)y = axCA (chiffre d ’affaire)B : les charges fixes.Ce sont des charges qui sont indépendantes du niveau d ’activité.Attention ici on considère que nous sommes à niveau de production et de technologie constant, Graphique 1, car le changement d ’un ou de ces deux éléments provoque un changement de niveau de charge (de nouvelles charges apparaissent : nouveaux locaux, plus d ’administration …) Graphique 2. Graphique 1 : CF (Charges fixes)y = bCAGraphique 2 :CF (Charges fixes)CA Légende :Signifie que le point est inclus dans la droite.Signifie que le point est exclu de la droite.C : les charges mixtes ou semi-variables.Ce sont des charges qui ont une partie fixe et une partie variable.Charges semi-variablesy = ax + bCAOn les rattache aux charges fixes pour leur partie fixe et aux charges variables pour leur partie variable, et on doit pour cela utiliser un tableau de reclassement. Complément de l’exemple p 12 :Charges mixtes Partie variable Partie fixeAchats non stockés Services extérieursImpôts et taxes Charges de personnel4080824022103120130Total 368 375D : le résultat différentiel.Il est obtenu grâce à :Chiffre d’affaire- Charges variables= Marge sur coûts variables (MSCV)- Charges fixes= RésultatDans l’exemple du tableau page 12 :Chiffre d’affaire 2 800100%Charges variables - 1 891 (1 427 – 17 + 120 + 5 + 368 – 12 – (13 + 61 + 375 -15 -5)) 67,54% 68%Marge sur coûts variables 90932,46% 32%Charges fixes - 429Résultat 480II le seuil de rentabilité :A : définition.1. à partir de la relation MSCV = CF :C’est le chiffre d’affaire pour lequel :Marge sur coûts variables = Coûts fixesOn peut aussi l’obtenir grâce à cette équation :Taux de marge x Chiffre d’affaire = Coûts fixesDonc le chiffre d’affaire du seuil de rentabilité :CA (SR) = CF / Taux de margePour l’exemple du tableau page 12 :CF MSCVMSCV = 0,32 CA500Montant de pertes pour CA = 1 000ZONE DE BENEFICES 400ZONE DE PERTE300200100CA1 000 CA (SR)2 0003 0002. à partir de la relation CA = ∑ coûts :Le chiffre d’affaire est égal à la somme des coûts, donc :CA = CF + CVOr : CV = (1 – Taux de marge) CADonc : CA = (1 – Taux de marge) CA – CFOu CF = CA – (1 – Taux de marge) CACF = CA ( 1 – 1 – Taux de marge) factorisation de CA ! On obtient : CA = CF / Taux de marge.Pour l’exemple du tableau page 12 :CA3 000 CA/CABénéficesCV + CF2 0001 000PertesCA1 000 CA (SR)2 0003 0003. à partir de la relation Résultat = MSCV – CF :Résultat1 000MSCV - CFBENEFICESTempsCA1 0002 000 2800 3 000PERTES- 1 000B : la date du seuil de rentabilité.1. première hypothèse : le chiffre d’affaire est régulier.Selon cette hypothèse, le chiffre d’affaire se répartit uniformément sur les 360 jours de l’année comptable.Dans l’exemple de la page 12 :On a :CA = 2 800Nombre de jours de l’année = 360Seuil de rentabilité = 1 341.Donc :2 800x = 360 x 1 341x = (360 x 1 341) / 2 800 = 172,4 ce qui correspond au 23 juin.2. deuxième hypothèse : le chiffre d’affaire est irrégulier.Complément de l’exemple p 12 :Jan v Fév MarsAvr Mai Juin Juil AoûtSeptOct Nov Déc300 350 200 150 100 80 50 120 200 340 450 460300 650 850 100011001180123013501550189023402800Seuil dépasséAprès avoir fait le cumul du chiffre d’affaire sur les différents mois, on va jusqu’au mois où le seuil de rentabilité est dépassé.。