法语小故事两篇中文翻译
[中法对照]法语哲理小故事
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[中法对照]法语哲理小故事:On Sauve Soi-même某人在屋檐下躲雨,看见观音正撑伞走过。
这人说:“观音菩萨,普度一下众生吧,带我一段如何?”观音说:“我在雨里,你在檐下,而檐下无雨,你不需要我度。
”这人立刻跳出檐下,站在雨中:“现在我也在雨中了,该度我了吧?”观音说:“你在雨中,我也在雨中,我不被淋,因为有伞;你被雨淋,因为无伞。
所以不是我度自己,而是伞度我。
你要想度,不必找我,请自己找伞去!”说完便走了。
第二天,这人遇到了难事,便去寺庙里求观音。
走进庙时,才发现观音的像前也有一个人在,那个人长得和观音一模一样,丝毫不差。
这人问:“你是观音吗?”那人答道:“我正是观音。
”这人又问:“那你为何还求自己?”观音笑道:“我也遇到了难事,但我知道,求人不如求己。
”《读者》2003.18On Sauve Soi-mêmeQuand quelqu’un s’abritait de la pluie sous un avant-toit, il aperçût Avalokitésvara qui passait à côté de lui avec un parapluie. Cet homme dit : “Avalokitésvara, délivre des créatures vivantes des souffrants.Mène-moi un bout du chemin, d’accord ?”Avalokitésvara dit : “Je suis sous la pluie alors que tu es sousl’avant-toit. Tu n’as pas besoin de mon sauvetage.” Tout de suite, cet homm e eut sautai de l’avant-toit, et eut se tenu debout dans la pluie: “Maintenant, je suis aussi sous la pluie. Tu devrais me délivrer?” Avalokitésvara dit : “Tu es sous la pluie, et moi aussi. Mais je ne suis pas trempé, car j’ai un parapluie; tu te fais mouiller, parce que tu n’as pas de parapluie. Par conséquent, ce n’est pas que je me délivre moi-même, mais le parapluie me délivre. Si tu veux être délivré, ce n’est pas la peine que tu me pries. Va trouver un parapluie toi-même, s’il te plait.” Finissant ce s mots, il s’en allait.Le lendemain, cet home trouva une difficulté, et alla au temple pour prier Avalokitésvara. En entrant dans le temple, il trouva qu’il y avait un homme qui ressemblait à Avalokitésvara à s’y tromper, devant la statue de Avalokitésvara en se prosternant.Cet homme demanda : “Es-tu Avalokitésvara ?”Celui-là répondit: “Oui, je suis précisément Avalokitésvara-même.”Cet home demanda encore: “Mais, pourquoi tu fais appel à toi-même?”Avalokitésvara répondit en riant : “J’ai aussi trouvé une difficulté. Mais je sais que mieux vaut compter sur soi-même que sur autrui.”« Lecteur », 2003.18。
法语翻译

一、Bonjour, monsieur. Comment allez-vous?Je vais bien, merci. Et vous?---Moi aussi. Merci.Bonjour, philippe. Ca va?---Oui , ca va. Et toi?Ca va bien,merci.Bonjour, monsieur.---Bonjour, madame.comment vous appelez-vous?--- Je m’appelle 李芳Qui est-ce?---C’est Michel.Est-ce qu’il est Francais?---Oui, il est Parisien.Qu’est-ce qu’il fait?---Il est ouvrier.Qui êtes-vous?---Je suis Michele Dupont.-V ous êtes Francaise?---Oui.Je suis Parisienne.Qu’est-ce que vous faites?---Je suis infirmière.Qu’est-ce que c’est?---C’est une photo.Qui est cette jeune fille?---C’est Isabelle, une amieQu’est-ce qu’elle fait?---Elle eat étudiante.Oùest-ce qu’elle habite.---Elle habite àParisJacques,quelle heure est-il?---Il est neuf heures.Déjà? Alors, je dois partir. Au revoir, Jacques.Au revoir,Serge.À quelle heure commence la soirée?Elle commence àsept heures et demie.Elle finit àquelle heure?---À dix heures.Quel ǎge avez-vous?---J’ai vingt et un ans.Et votre frère, il a quel ǎge?---Il a vingt-trois ans.Que fait-il?Il est journaliste. Il voyage beaucoup et il est heureux.四、Combien êtes-vous dans votre famille?--Nous sommes quatre dans notre famille:mon père, ma mère, ma soeur aǐnée et moi.Que font vos parents?---Mon père est journaliste. Ma mère est infirmière.Et votre soeur?---Elle est professeur. Elle travaille dans un lycée.Qu’est-ce que c’est? C’eat un stylo?---Non, ce n’est pas un stylo, c’est un crayon.Et ca,c’est une radio?---Non,ce n’est pas une radio,c’est un magnétophone.Et là, ce sont des livres?---Non, ce ne sont pas des livres, ce sont des revues.---Monsieur Thomson, c’est vous?---Oui, c’est moi.---V ous êtes Anglais?---Non, je ne suis pas Anglais, je suis Américain.---V ous êtes marié?---Non, je ne suis pas marié. Je suis célibataire.五1、En general, l’année a quatre saisons:le printemps, l’été, l’automne et l’hiver. Chaque saison dure trios mois.Au printemps, il fait beau. Les oiseaux chantent avec joie et les fleurs sentient bonEn été, il fait chaud, et il pleut souvent. Les légumes poussent vite, les fruits grossissent rapidement. En automne, il fait doux. Le ciel est bleu, et le soleil agréable. C’est la belle saison des récoltes. L’hiver est froid. Il gèle. Il neige souvent, et il fait beaucoup de vent.2、Combien de saisons y a-t-il chez vous dans une année?---Chez nou, il y a aussi quatre saisons. Mais l’hiver est long.---Il dure combien de mois?---Cinq mois: de novembre àmars.---Et quell temps fait-il en hiver?---Il fait très froid. Il neige souvent.--- Quelle temperature fait-il au mois de janvier?---Il fait moins 10.---Eh bien, vous avez raison de vivre chez nous.六1. pardon,madame. Pour aller àla Bibliothèque nationale, s’il vous plaǐt?---Vous y allez àpied?Oui. C’est compliqué?---Non, mais c’est loin! C’est à10 km d’ici.---Alors, comment fait-on? V ous prenez d’abord le metro, vous descendez àl’Hǒtel de Ville.Ensuite,vous prenez l’autobus N 4. Il passédevant la Bibliothèque.Oùse trouve la station de metro? Est-ce qu’elle est loin d’ici?Non, pas très loin. Regardez! Là,vous voyez ce grand magasin? C’est en face.---Je vous remercie,madame.---Il n’y a pas de quoi.2. excusez-moi, monsieur. Y a-t-il bureau de posye près d’ici?Oui,mademoiselle,mais c’est un peu compliqué. Allez tout droit et prenez la première rue àgauche…Attendez,je note. Je vais tout droit,et je prends la première rue droite…Ensuite,passez sous le pont,et prends la première rue àdroite…Je passésous le pont,et je prends la première rue droite…àcent mètres,vous trouvez la Bibliothèque nationale…àcent mètres,je trouve la Bibliothèque nationale…la poste estàcǒté.---Merci, monsieur.---Je vous en prie.七、1、我们学法语快半年了。
简明法语教程法语课文翻译26课-34课

第二十六课法国法国的面积大约为551 000平方公里。
她比西班牙大一点,比阿富汗小一点。
她里北极和赤道一样远,在北纬51度和42度之间。
法国是一个西欧国家。
她主要的邻居从北到南为:英国,比利时,卢森堡,德国,瑞士,意大利和西班牙。
他濒临北海,拉芒什海峡,大西洋和地中海。
数条河流流经法国:最长的河流是卢瓦尔河,塞纳河和加龙河。
地形也非常多变:平原,丘陵,山谷,高山等。
最高的山是比利牛斯山和阿尔卑斯山。
三个最重要的法国城市是巴黎马赛和里昂。
法国既是工业国家也是农业国家。
她的经济发达。
她是一个大的小麦和酒的生产者(盛产)。
人们也种植土豆,甜菜和烟草。
在农村生活中畜牧业占有足够重要的地位。
在工业领域,汽车和建筑占主导地位。
第二十七课巴黎巴黎是法国的首都。
它是国家的政治,经济和文化中心。
对外国人和很多法国人来说,法国就是巴黎,他们不知道除巴黎以外的地方。
全世界的游客被巴黎在近两千年间汇聚起来的瑰宝所吸引。
巴黎的历史可以追溯到公元前二世纪,那时候一些渔民在西岱岛上定居。
巴黎是法国的中心,而西岱岛则是巴黎的中心。
该岛在塞纳河的中,位于巴黎的正中心。
这是游客最经常去的地方,因为西岱岛上有壮丽的历史古迹并能在那儿观赏塞纳河的美好景色。
在任何时候都有游客在塞纳河畔散步或兴致勃勃地翻阅那些旧书上提供给好奇者购买的书籍。
建于12世纪的巴黎圣母院高高低耸立在西岱岛上。
巴黎法院位于西岱岛的另一端。
圣夏佩尔教堂坐落在法院的院子里。
圣夏佩尔教堂的彩画玻璃窗在巴黎最古老和最漂亮的。
第二十八课外省巴黎就是整个法国吗?这在19世纪是对的,但在当今不不那么正确了。
有巴黎,也有出巴黎以外余下的地方。
这些“法国余下的地方”叫做外省,而它们的居民被称作“外省人”。
知道第二次世界大战,人们往往认为外省的生活与首都的生活迥然不同。
但是这种状态已经改变了:自从上世纪中期,媒体的快速发展使外省摆脱了与外界隔绝的状态。
交通(火车,高速公路,飞机)的进步使得人们能够在同一天里来往穿梭于法国各大城市。
新大学法语二课文翻译

Unit 1Texte A La France法国法国位于西欧,面积为55万平方公里,人口为6500万(2009)。
分为22个大区和96个省。
7月14日,是法国的国庆节。
在1789年的7月14日那一天,巴黎人民进攻了巴士底狱,并宣布自由、平等、博爱的理想。
法国有众多的邻国:东北部有比利时和卢森堡;东部有德国、瑞士和意大利;南部有西班牙;西北部与英国隔拉芒什(英吉利)海峡相望。
不要忘记两个微型国家:摩纳哥和安道尔。
法国西部濒临大西洋和拉芒什(英吉利)海峡,南部是地中海。
法国有许多的山脉,尤其在边界。
主要的山脉有:东部的阿尔卑斯山和南部的比利牛斯山。
勃朗峰(4810米)是西欧最高的山峰。
众多的江河流经法国,最有名的是:塞纳河、卢瓦尔河、加龙河和罗纳河。
塞纳河(776公里长)横穿巴黎,像加龙河和卢瓦尔河一样在大西洋入海,而罗纳河在地中海入海。
卢瓦尔河长1010公里,是法国最长的河流。
巴黎是法国的首都,最大的城市。
在巴黎之后,最大的城市有:地中海边最大的港口马赛;国家最大的工业中心之一里昂;大西洋畔的港口,著名的葡萄酒城波尔多;法国北部重要的工业中心里尔。
在工业方面,法国并非欧洲最发达的国家,居德国之后,但比意大利和西班牙发达。
就农业角度来说,法国是西欧最重要的国家。
Texte B L’Hexagone六边形法国被称为六边形,因为她有6个边:3个边濒临大海,3个为陆地。
海岸朝向拉芒什海峡(北边)、大西洋(西边)和地中海(南边)。
陆地的边界把法国与比利时和卢森堡隔开(东北边)。
与德国、瑞士和意大利隔开(东边)、与西班牙隔开(西南边)。
气候法国属温带气候,但各地区也有所不同。
法国有3种气候:西部,经常下雨;东部,冬季寒冷夏季炎热;在靠近地中海的南部,冬季温和夏季炎热。
山区的气候更恶劣:冬季很长又很冷,夏季相对凉爽一些。
自然风光自然风光随着气候和地形而不同。
法国的北部和西南部有大平原,北部和阿尔卑斯地区有牧场,山区有森林,罗纳河流域和波尔多地区出产葡萄,南部种植橄榄和蔬菜。
精选法语小故事(小猫咪)

精选法语小故事(公主和老鼠)

La princesse et la souris(公主和老鼠)Ilétait une fois une princesse,fille de roi.Elle se prénommait Safia. Son père et sa mère l'aimaient tellement qu'ils ne lui auraient rien refusé.Un jour,un magicien arriva au palais en demandant asile:il prétenditêtre un savant professeur,pourchassépar ses ennemis,et qu'il n'avait aucun endroit oùaller pourécrire un livre très important.«Mon cher professeur»,dit le Roi,«vous aurez ici une pièceàvotre disposition et tout ce que vous pourrez souhaiter pour pouvoir terminer votre ouvre.»Le magicien vint donc s'installer avec ses sortilèges et ses formules magiques,en se faisant passer pour un savant professeur.Chaque vendredi,quiétait le jour de repos dans ce payséloigné,le magicien présentait ses hommages au Roi etàsa cour,mais il convoitait secrètement le trône royal.Un jour il se déguisa en vieille femme et parcourut les jardins ombragés du palaisàla recherche de Safia.«Princesse»,dit-il,«permettez-moi d'être votre lingère,car je sais laver le lin et la soie mieux que personne au monde,et je le ferais pour presque rien si je pouvais servir votre Grandeur.»«Chère femme,»dit la princesse Safia,«Je devine que vousêtes une pauvre créature et votre situation m'afflige.Venez me voir dans mes appartements et je vous donnerai du lingeàlaver.»C'est ainsi que le magicien déguisésuivit la princesseàl'intérieur du palais,et avant même qu'elle ait pu s'apercevoir de quoi que ce soit,il l'avait enfermée dans un sacàlinge et s'enfuit aussi vite qu'il le put.Il amena la Princesse dans son appartement.Il murmura un sort qui la rendit aussi petite qu'une poupée et il la cacha dans un placard.Le vendredi suivant,il se présentaàla Cour comme d'habitude et trouva le palais tout entier en proie au tumulte.«La Princesse Safia a disparu,et Sa Majestéa presque perdu la tête.Tous les jeteurs de sorts ont essayéde découvriràl'aide de leurs pouvoirs magiques oùelle pouvaitêtre mais aucun n'a trouvéquoi que ce soit»,dit le Grand Vizir.Le méchant magicien sourit car il savait que son sortilègeétait si puissant que personne dans tout le pays ne pourrait le contrer tant qu'il serait en vie.Le jour suivant,alors que la Reineétait en train de pleurer,le magicien entra,déguiséen lingère.Il la fourra dans un sacàlinge et l'emporta dans son appartement.Il la transforma en poupée pas plus grosse que son pouce.«Ha-Ha!»,ricana le magicien,«maintenant je vais capturer le Roi etc'est moi qui dirigerai le pays.»Donc,le jour suivant,il attendit que le Roi parte se reposer,épuiséet tourmentépar la disparition de la Reine,et,déguiséde la même façon, il captura le Roi.Il le transforma lui aussi en poupée pas plus grosse que la Reine et l'enferma dans le placard.C'est alors que,toute la famille royale ayant disparu,les courtisans commencèrentàpleurer etàgémir;ils se rendirent en grand nombre àl'appartement du magicien pour lui demander conseil.«Vousêtes un homme de science»,dit le Grand Vizir,«vous devez connaître beaucoup de choses.Pourriez-vous nous dire ce que nous devons faire?»«Jusqu'àce que le Roi,la Reine et la Princesse réapparaissent, laissez-moi vous diriger»,dit le magicien,et le peuple approuva.C'est ainsi que durant une longue période le méchant magicien gouverna le pays et amassa une grosse fortune car les habitants lui apportaient tout l'or du pays.Sans arrêt il envoyait des troupes qui parcouraient le pays dans tous les sensàla recherche du Roi,de sa femme et de sa fille.Mais bien sûr personne ne trouvait rien.Cependant,un jour,une souris arriva jusque dans le placard oùétait cachée la Princesse Safia.Quelle ne fut pas sa surprise d'entendre celle-ci lui dire,«Souris,souris,creuse un trou dans ce placard pour que je puisse m'échapper,car le méchant magicien qui m'a jetéce sort ne me laissera jamais sortir,et je mourrai».«Quiêtes-vous?»demanda la souris.«Mon père est le Roi et il vous récompensera généreusement.Vous aurez du fromageàvolontépour le restant de vos jours»,dit la Princesse.«Qu'Allah ait pitié!»dit la souris.«Sa Majestéle Roi a disparu,la Reine aussi et le magicien est maintenant sur le trône».«Oh non»,gémit la Princesse,«que leur est-il arrivé?Le méchant magicien les aurait-il aussi capturés?»«Attendez ici»,dit la souris,«je vais jeter un coup d'oil dans les autres parties du placard».Et bien entendu,elle découvrit le Roi et la Reine transformés en poupées minuscules sur l'étagère du haut.Mais ilsétaient tout raides,comme s'ils avaientététaillés dans le bois,car le magicien avait utilisépour eux un sort différent.La souris retourna raconter sa triste découverteàla Princesse.«Hélas,hélas»,pleura la Princesse,«que puis-je faire alors,même si je m'échappe,que m'arrivera-t-il?»«Princesse»,dit la souris,«Je vais vous aider.Je vais aller voir une Femme d'une grande sagesse qui vit dans un arbre creux.Ce soir je reviendrai vous raconter ce qu'elle a dit.»La Princesse se cachaànouveau dans le placard et la souris disparut.A l'intérieur d'un grand arbre qui avait vu passer beaucoup d'hiversvivait la vieille Femme de grande souris arriva et lui demanda:«Mère,dites-moi ce que je dois faire pour aider la fille du Roi qui aététransformée en poupée par le magicien.Elle espère s'échapper par un petit trou que j'aurais creusédans la porte.J'ai découvert que le Roi et la Reine sont dans le même placard, métamorphosés en poupées de bois pas plus grosses que votre pouce.»«Ditesàla fille du Roi qu'elle doit venir ici quand la lune sera haute et que je l'aiderai»,dit la Femme de grande sagesse.La nuit tombée,la souris retourna dans le placard et creusa le bois pour permettreàSafia de sortir par le Princesseétait si petite qu'il lui fut facile de courir hors du palais sans se faire remarquer par les gardes.Quand la lune se leva et que le jardin fut inondéde lumière, la minuscule Princesse se glissa dans l'arbre creux que lui avait montréla souris.«Entrez,fille du Roi»,dit la femme de grande sagesse.«J'ai trouvéla réponseàvos questions dans mes livres de magie.»La souris faisait le guetàcôtépour s'assurer que personne n'arrivait,et Safia s'assit sur un petit tabouret tandis que la vieille femme lisait son grand livre de magie.«Vous devez marcher jusqu'àla croisée des chemins et dans un champ des environs vous verrez un cheval de couleur orange,déjàsellépour un voyage.Sautez sur son dos,après lui avoir fait manger une graine d'herbe magique».«Oùvais-je trouver la graine d'herbe magique?»,demanda la Princesse.«Je vais vous la donner»,dit la femme de grande sagesse,en cherchant dans un tiroir.«Que dois-je faire une fois sur le cheval?»demanda Safia.«Fille du Roi,vous devez lui murmureràl'oreille,Emmène-moi,cheval orange,làoùpousse le poirier sacrépour que je puisse rapporter une poire de sa branche la plus haute»,dit la vieille femme en reposant son livre sur l'étagère.«Et ensuite je retrouverai ma taille normale?»demanda la Princesse.«Quand le méchant magicien sera mort et pas avant vous retrouverez votre taille normale»,dit la Femme de grande sagesse.«Vous devez remonter sur le cheval orange et chevaucher jusqu'àce vous atteigniez le puits de l'Ogre Vert.Murmurezàl'oreille droite du cheval et vous y parviendrez avant même de le savoir.Jetez la poire au plus profond du puits car l'âme du méchant magicien est cachée dans cette poire et si elle tombe dans l'antre de l'ogre celui-ci la dévorera.Ainsi le magicien mourra.»«Qu'arrivera-t-il ensuite?»,voulut savoir la Princesse.«Ensuite,toutes les créatures transformées par le magicienretrouveront leur forme originelle et tout sera comme avant.»Et la femme de grande sagesse lui mit une graine d'herbe dans la main. La minuscule Princesse remercia donc la Femme de grande sagesse, dit au revoiràla souris et courut au clair de lune jusqu'àla croisée des chemins.Elle vit,comme le lui avait dit la vieille femme,un cheval de couleur orange,avec une belle crinière et une queue dorées,qui attendait dans le champ,harnachéet sellé.«Cheval orange!Cheval orange!»l'appela Safiaàvoix basse.«Voici la graine d'herbe magique.Emmène-moi jusqu'au poirier sacré,pour que je puisse attraper la poire la plus haute».Le cheval de couleur orange baissa la tête pour avaler la graine.Puis il baissa la têteànouveau pour permettreàSafia de grimper sur son dos en se cramponnantàla crinière dorée.Elle s'installa sur la selle du mieux qu'elle put.Le cheval hennit deux fois,puis,agitant la tête,se mitàgaloper plus vite que le vent.En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire,Safia se retrouva au milieu d'un beau verger rempli de cerisiers,de pruniers et d'arbres couverts de baies mais il n'y avait làqu'un seul poirier.«Le voici»,dit le cheval,et debout sur la selle Safia tendit le bras vers les branches.Elle attrapa une poire sur la plus haute branche et la déposa délicatement dans la besace.«Emmène-moi jusqu'au Puits de l'Ogre vert»,murmura-t-elleàl'oreille droite du cheval.Le cheval orange fit un signe de la tête et s'élança tel le vent;ses sabots allaient si vite qu'ils semblaient ne pas toucher terre.Derrière trois palmiers,il y avait un puits.Au clair de lune,Safia vit,qu'àl'intérieur du puits,il y avait la tête d'un ogre,aussi grosse qu'un potiron avec des yeuxénormes et tout ronds et une grande bouche.Elle se dépêcha de prendre la poire contenant l'âme du magicien et la jeta directement dans la bouche de l'Ogre vert. Immédiatement l'Ogre dévora la poire et Safia se mitàgrandir.Elle avait désormais retrouvésa taille normale-le méchant magicienétait mort.Le cheval la ramenaàla croisée des chemins et alors qu'elle s'apprêtait àle remercier il disparut dans un grand bruit de tonnerre.Elle courut jusqu'au palais puis dans la pièce oùsa mère et son père étaient emprisonnés.Elle découvrit que le Roi et la Reine,ayant repris leur taille normale,étaient très intrigués de se retrouver dans un placard.Elle leur expliqua rapidement toute l'histoire.«Appelez le Capitaine de la Garde!»,ordonna le Roi.«Arrêtez le magicien et qu'il soit décapité».Mais quand les soldats arrivèrent dans la chambre royale pour arrêter le faux roi,ils s'aperçurent qu'ilétait mort au moment-même oùl'Ogre Vert avait mangéla poire,comme l'avait prédit la Femme de grandesagesse.Il y eut de grandes réjouissances au palais et Safia décida d'aller remercier la Femme de grande sagesse qui vivait dans l'arbre creux. Mais de l'arbre il n'y avait plus trace-il avait disparu,c'était comme s'il n'avait jamais existé.Safia n'en croyait pas ses yeux,elle regardait partout lorsqu'un beau et grand jeune homme,richement vêtu, s'approcha d'elle.«Soyez bénie,chère Princesse»,dit-il,«car c'était moi la souris, victime d'un enchantement,qui a creuséle trou qui vous a permis de vousévader et d'aller chercher la poire qui contenait l'âme du magicien».«Ainsi donc c'était vrai,ce n'était pas un rêve!»s'écria Safia.«Je venais trouver la Femme de grande sagesse et elle a disparu».«Elle vit dans un arbre enchanté»,expliqua le jeune homme,«et comme elle veut désormais séjourner ailleurs,l'arbre aétédéracinéet déplacésans qu'il en reste aucune trace».«Venez avec moi voir mon père afin qu'il puisse vous remercier,»dit Safia.Le jeune homme l'accompagna donc et en s'agenouillant devant le Roi il expliqua qu'ilétait un prince qui avaitététransforméen souris par le magicien.«Vous resterez ici etépouserez ma fille»,promit le Roi,«et vous dirigerez le royaume après moi,puisque ne n'ai pas de fils».Et c'est ainsi que les choses se passèrent,les fêtes du mariage durèrent sept jours et sept nuits,et Safia et sonépoux vécurent heureux durant de longues années。
Le Petit Prince小王子法语版(有中文翻译)

Le Chapitre ILorsque j'avais six ans j'ai vu, une fois, une magnifique image, dans un li vre sur la Forêt Vierge qui s'appelait "Histoires Vécues" . Ça représentait un serpent boa qui avalait un fauve. Voilà la copie du dessin.当我还只有六岁的时候,在一本描写原始森林,名叫《真实的故事》的书中,看到了一副精彩的插画,画的是一条蟒蛇正在吞食一只大野兽,下面就是那副画的摹本:On disait dans le livre: " Les serpents boas avalent leur proie tout entière, sans la mâcher. Ensuite ils nepeuvent plus bouger et ils dorment pen dant les six mois de leur digestion" .这本书中写道:"这些蟒蛇把它们的猎获物不加咀嚼地吞下,一会儿后就不能再动弹了,它们就在长长的六个月的睡眠中消化这些食物。
"J'ai alors beaucoup réfléchi sur les aventures de la jungle et, à mon tour, j'ai réussi, avec un crayon decouleur, à tracer mon premier dessin. Mon dessi n numéro 1. Il était comme ça:当时,我对丛林中的奇遇想得很多,于是,我也用彩色铅笔画出了我的第一副图画。
法语童话故事_童话故事

法语童话故事中文和英文的童话故事相信大家不陌生,那么法语的呢?下面是小编为大家准备的法语童话故事,希望大家喜欢!法语童话故事篇一Par une chaude après-midi, un lion s'était assoupi dans une grotte obscure et bien fraîche.Il s'endormait tout juste quand un rat lui fila le long du museau. Avec un grondement, le lion leva sa lourd patte et l'abattit sur l'impertinent.“Je vais t'écraser, misérable, rugit-il.- Je vous en supplie, épargnez-moi, gémit le rat. Si vous me laissez aller, je promets de vous aider un jour.- Comment un faible petit rat pourrait-il me venir en aide, à moi, le Roi des animaux? Tu te moques de moi!”Le lion éclata de rire. Il rit tant et tant qu'il en leva les pattes... Et que, sans faire ni une ni deux, le rat se sauva.Quelques jours plus tard, le lion chassait dans la savane. Il rêvait avec délice à son prochain repas quand, soudain, il trébucha sur une corde. Aussitôt, un énorme filet tomba sur lui. Le lion se tourna, se contortionna, se tourna encore... mais en vain. Plus il remuait, plus resserrait son étreinte.Le lion rugit de rage et de désespoir. Il rugit si fort, que tous les animaux de la savane l'entendirent et, parmi eux, le rat.Sans perdre une seconde, il accourut auprès du prisonnier.“Oh, puissant lion, couina-t-il, si vous vous tenez tranquille, je vous aiderai à vous échapper.”Le lion, un peu vexé, ne bougea plus. Il n'avait pas l'air fier, allongé sur le dos, tandis que le petit rat grignotait patiemment les mailles du filet!Peu de temps après, le lion était libre. Tout penaud, il ronronna:“Tu m'a sauvé la vie! Jamais plus je ne rirai de toi ou de tes semblables, car... on a souvent besoin d'un plus petit que soi!”法语童话故事篇二Il faisait vraiment très, très froid ce jour là; il neigeait depuis le matin et maintenant il faisait déjà sombre; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait pieds nus dans la rue. Lorsqu'elle était sortie de chez elle ce matin, elle avait pourtant de vieilles chaussures, mais des chaussures beaucoup trop grandes pour ses si petits pieds. Aussi les perdit-elle lorsqu'elle courut pour traverser devant une file de voitures; les voitures passées, elle voulut les reprendre, mais un méchant gamin s'enfuyait en emportant l'une d'elles en riant, et l'autre avait été entièrement écrasée par le flot des voitures.Voilà pourquoi la malheureuse enfant n'avait plus rien pour protéger ses pauvres petits petons.Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes: elle en tenait une boîte à la main pour essayer de la vendre. Mais, ce jour-là, comme c'était la veille du nouvel an, tout le monde était affairé et par cet affreux temps, personne n'avait le temps de s'arrêter et de considérer l'air suppliant de la pe tite fille.La journée finissait, et elle n'avait pas encore vendu une seule boîte d'allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.Des flocons de neige couvraient maintenant sa longue chevelure. De toutes les fenêtres brillaient des lumières et de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur de volaille qu'on rôtissait pour le festin du soir.Après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d'allumettes, l'enfant aperçut une encoignure entre deux maisons. Elle s'y assit, fatiguée de sa longue journée, et s'y blottit, tirant à elle ses petits pieds: mais elle grelotte et frissonne encore plus qu'avant et cependant elle n'ose pas rentrer chez elle.Elle n'y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la battrait.L'enfant avait ses petites menottes toutes transies."Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts?"C'est ce qu'elle fit. Quelle flamme merveilleuse c'était! Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se tr ouvait devant un grand poêle en fonte, comme elle en avait aperçut un jour.法语童话故事篇三Il y avait une fois un élégant cavalier, dont tout le mobilier se composait d'un tire-botte et d’une brosse à cheveux. – Mais il avait le plus beau faux col qu'on eût jamais vu. Ce faux col était parvenu à l'âge où l'on peut raisonnablement penser au mariage ; et un jour, par hasard, il se trouva dans le cuvier à lessive en compagnie d'une jarretière. « Mille boutons ! s'écria-t-il, jamais je n'ai rien vu d'aussi fin et d'aussi gracieux. Oserai-je, mademoiselle, vous demander votre nom ?–Que vous importe, répondit la jarretière.–Je serais bien heureux de savoir où vous demeurez. » Mais la jarretière, fort réservée de sa nature, ne jugea pas à propos de répondre à une question si indiscrète. « Vous êtes, je suppose, une espèce de ceinture ? continua sans se déconcerter le faux col, et je ne crains pas d'affirmer que les qualités les plus utiles sont jointes en vous aux grâces les plus séduisantes.– Je vous prie, monsieur, de ne plus me parler, je ne pensepas vous en avoir donné le prétexte en aucune façon.– Ah ! mademoiselle, avec une aussi jolie personne que vous, les prétextes ne manquent jamais. On n'a pas besoin de se battre les flancs : on est tout de suite inspiré,entraîné.–Veuillez vous éloigner, monsieur, je vous prie, et cesser vos importunités.–Mademoiselle, je suis un gentleman, dit fièrement le faux col ; je possède un tire-botte et une brosse à cheveux. » Il mentait impudemment : car c'était à son maître que ces objets appartenaient ; mais il savait qu'il est toujours bon de se vanter.« Encore une fois, éloignez-vous, répéta la jarretière, je ne suis pas habituée à de pareilles manières.–Eh bien ! vous n'êtes qu'une prude ! » lui dit le faux col qui vo ulut avoir le dernier mot. Bientôt après on les tira l'un et l'autre de la lessive, puis ils furent empesés, étalés au soleil pour sécher, et enfin placés sur la planche de la repasseuse. La patine à repasser arriva . « Madame, lui dit le faux col, vous m'avez positivement ranimé : je sens en moi une chaleur extraordinaire, toutes mes rides ont disparu. Daignez, de grâce, en m'acceptant pour époux, me permettre de vous consacrer cette nouvelle jeunesse que je vous dois.–Imbécile ! » dit la machine en pass ant sur le faux col avec la majestueuse impétuosité d'une locomotive qui entraîne des wagons sur le chemin de fer. Le faux col était un peu effrangé sur ses bords, une paire de ciseaux se présenta pour l'émonder.« Oh ! lui dit le faux col, vous devez être une première danseuse ; quelle merveilleuse agilité vous avez dans les jambes ! Jamais je n'ai rien vu de plus charmant ; aucun homme ne saurait faire ce que vous faites.–Bien certainement, répondit la paire de ciseaux encontinuant son opération.– Vou s mériteriez d'être comtesse ; tout ce que je possède, je vous l'offre en vrai gentleman (c'est-à-dire moi, mon tire-botte et ma brosse à cheveux).–Quelle insolence ! s'écria la paire de ciseaux ; quelle fatuité ! » Et elle fit une entaille si profonde a u faux col, qu'elle le mit hors de service.« Il faut maintenant, pensa-t-il, que je m'adresse à la brosse à cheveux. » « Vous avez, mademoiselle, la plus magnifique chevelure ; ne pensez-vous pas qu'il serait à propos de vous marier ?–Je suis fiancée au tire-botte, répondit-elle.–Fiancée ! » s'écria le faux col.Il regarda autour de lui, et ne voyant plus d'autre objet à qui adresser ses hommages, il prit, dès ce moment, le mariage en haine. Quelque temps après, il fut mis dans le sac d'un chiffonnier, et porté chez le fabricant de papier. Là, se trouvait une grande réunion de chiffons, les fins d'un côté, et les plus communs de l'autre. Tous ils avaient beaucoup à raconter, mais le faux col plus que pas un. Il n'y avait pas de plus grand fanfaron. « C'est effrayant combien j'ai eu d'aventures, disait il, et surtout d'aventures d'amour ! mais aussi j'étais un gentleman des mieux posés ; j'avais même un tire-botte et une brosse dont je ne me servais guère. Je n'oublierai jamais ma première passion : c'éta it une petite ceinture bien gentille et gracieuse au possible ; quand je la quittai, elle eut tant de chagrin qu'elle alla se jeter dans un baquet plein d'eau. Je connus ensuite une certaine veuve qui était littéralement tout en feu pour moi ; mais je lui trouvais le teint par trop animé, et je la laissai se désespérer si bien qu'elle en devint noire comme du charbon. Une première danseuse,véritable démon pour le caractère emporté, me fit une blessure terrible, parce que je me refusais à l'épouser. Enfin, ma brosse à cheveux s'éprit de moi si éperdument qu'elle en perdit tous ses crins. Oui, j'ai beaucoup vécu ; mais ce que je regrette surtout, c'est la jarretière… je veux dire la ceinture qui se noya dans le baquet. Hélas ! il n'est que trop vrai, j'ai bie n des crimes sur la conscience ; il est temps que je me purifie en passant à l'état de papier blanc. » Et le faux col fut, ainsi que les autres chiffons, transformé en papier.Mais la feuille provenant de lui n'est pas restée blanche –c'est précisément celle sur laquelle a été d'abord retracée sa propre histoire. Tous ceux qui, comme lui, ont accoutumé de se glorifier de choses qui sont tout le contraire de la vérité, ne sont pas de même jetés au sac du chiffonnier, changés en papier et obligés, sous cette forme, de faire l'aveu public et détaillé de leurs hâbleries. Mais qu'ils ne se prévalent pas trop de cet avantage ; car, au moment même où ils se vantent, chacun lit sur leur visage, dans leur air et dans leurs yeux, aussi bien que si c'était écrit : « I l n'y a pas un mot de vrai dans ce que je vous dis. Au lieu de grand vainqueur que je prétends être, ne voyez en moi qu'un chétif faux col dont un peu d'empois et de bavardage composent tout le mérite.。
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法语小故事两篇中文翻译Newly compiled on November 23, 2020
1、青蛙想长得和牛一样大
La Grenouille Qui Veut Se Faire Aussi Grosse Que Le Boeuf
Une Grenouille vit un Boeuf
Qui lui sembla de belle taille.
Elle, qui n'était pas grosse en tout comme un oeuf
Envieuse,s'étend, et s'enfle, et se travaille
Pour égaler l'animal en grosseur,
Disant:"Regardez bien, ma soeur;"
Est-ce assez dites-moi; n'y suis-je point encore
"Nenni.""M'y voici donc" "Point du tout."
"M'y voilà "
"Vous n'en approchez point." La chétive pécore
S'enfla si bien qu'elle creva.……
参考译文:
青蛙看见一头公牛
觉得他的身材真够气派。
而她自己的身体还没有一个蛋大,
所以她心里十分羡慕,于是舒展全身,鼓足了气,绞尽脑汁想在身体的魁梧方面和他比比高低。
她问道:"我的妹妹,瞧瞧我吧,
够了吗告诉我;难道我还比不上他"
"比不上。
""现在呢""根本比不上。
""现在怎么样"
"你还是一点也比不上。
"
这只滑稽可笑的动物
鼓气鼓到这种程度,居然胀破了肚皮。
2、狮子和老鼠
Par une chaude après-midi, un lion s'était assoupi dans une grotte obscure et bien frache.
Il s'endormait tout juste quand un rat lui fila le long du . Avec un grondement, le lion leva sa lourd patte et l'abattit sur l'.
Je vais t', misérable, rugit-il.
- Je vous en supplie, épargnez-moi, gémit le rat. Si vous me laissez aller, je promets de vous aider un jour.
- Comment un faible petit rat pourrait-il me venir en aide, à moi, le Roi des animaux Tu te moques de moi!
一个炎热的下午,一头狮子在阴凉的山洞里打盹。
正当它要睡着的时候,一只老鼠从它面前溜过。
狮子低吼一声,抬起它沉重的
爪子将这个不速之客按倒在地。
“我要踩死你,可怜的东西。
”狮子吼叫道。
“求求你,饶过我,”老鼠呻吟道,“如果你放我走,我保证某天会帮你的。
”“我,动物之王,怎么可能需要区区弱小老鼠的帮助你把我当傻瓜吗!”。