法语短篇故事1

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法语小故事两篇中文翻译

法语小故事两篇中文翻译

法语小故事两篇中文翻译乐享集团公司,写于2021年6月16日1、青蛙想长得和牛一样大La Grenouille Qui Veut Se Faire Aussi Grosse Que Le BoeufUne Grenouille vit un BoeufQui lui sembla de belle taille.Elle, qui n'était pas grosse en tout comme un oeufEnvieuse,s'étend, et s'enfle, et se travaillePour égaler l'animal en grosseur,Disant:"Regardez bien, ma soeur;"Est-ce assez dites-moi; n'y suis-je point encore"Nenni.""M'y voici donc" "Point du tout.""M'y voilà ""Vous n'en approchez point." La chétive pécoreS'enfla si bien qu'elle creva.……参考译文:青蛙看见一头公牛觉得他的身材真够气派;而她自己的身体还没有一个蛋大,所以她心里十分羡慕,于是舒展全身,鼓足了气,绞尽脑汁想在身体的魁梧方面和他比比高低;她问道:"我的妹妹,瞧瞧我吧,够了吗告诉我;难道我还比不上他""比不上;""现在呢""根本比不上;""现在怎么样""你还是一点也比不上;"这只滑稽可笑的动物鼓气鼓到这种程度,居然胀破了肚皮;2、狮子和老鼠Par une chaude après-midi, un lion s'était assoupi dans une grotte obscure et bien frache.Il s'endormait tout juste quand un rat lui fila le long du . Avec un grondement, le lion leva sa lourd patte et l'abattit sur l'.Je vais t', misérable, rugit-il.- Je vous en supplie, épargnez-moi, gémit le rat. Si vous me laissez aller, je promets de vous aider un jour.- Comment un faible petit rat pourrait-il me venir en aide, à moi, le Roi des animaux Tu te moques de moi一个炎热的下午,一头狮子在阴凉的山洞里打盹;正当它要睡着的时候,一只老鼠从它面前溜过;狮子低吼一声,抬起它沉重的爪子将这个不速之客按倒在地;“我要踩死你,可怜的东西;”狮子吼叫道;“求求你,饶过我,”老鼠呻吟道,“如果你放我走,我保证某天会帮你的;”“我,动物之王,怎么可能需要区区弱小老鼠的帮助你把我当傻瓜吗”。

[中法对照]法语哲理小故事

[中法对照]法语哲理小故事

[中法对照]法语哲理小故事:On Sauve Soi-même某人在屋檐下躲雨,看见观音正撑伞走过。

这人说:“观音菩萨,普度一下众生吧,带我一段如何?”观音说:“我在雨里,你在檐下,而檐下无雨,你不需要我度。

”这人立刻跳出檐下,站在雨中:“现在我也在雨中了,该度我了吧?”观音说:“你在雨中,我也在雨中,我不被淋,因为有伞;你被雨淋,因为无伞。

所以不是我度自己,而是伞度我。

你要想度,不必找我,请自己找伞去!”说完便走了。

第二天,这人遇到了难事,便去寺庙里求观音。

走进庙时,才发现观音的像前也有一个人在,那个人长得和观音一模一样,丝毫不差。

这人问:“你是观音吗?”那人答道:“我正是观音。

”这人又问:“那你为何还求自己?”观音笑道:“我也遇到了难事,但我知道,求人不如求己。

”《读者》2003.18On Sauve Soi-mêmeQuand quelqu’un s’abritait de la pluie sous un avant-toit, il aperçût Avalokitésvara qui passait à côté de lui avec un parapluie. Cet homme dit : “Avalokitésvara, délivre des créatures vivantes des souffrants.Mène-moi un bout du chemin, d’accord ?”Avalokitésvara dit : “Je suis sous la pluie alors que tu es sousl’avant-toit. Tu n’as pas besoin de mon sauvetage.” Tout de suite, cet homm e eut sautai de l’avant-toit, et eut se tenu debout dans la pluie: “Maintenant, je suis aussi sous la pluie. Tu devrais me délivrer?” Avalokitésvara dit : “Tu es sous la pluie, et moi aussi. Mais je ne suis pas trempé, car j’ai un parapluie; tu te fais mouiller, parce que tu n’as pas de parapluie. Par conséquent, ce n’est pas que je me délivre moi-même, mais le parapluie me délivre. Si tu veux être délivré, ce n’est pas la peine que tu me pries. Va trouver un parapluie toi-même, s’il te plait.” Finissant ce s mots, il s’en allait.Le lendemain, cet home trouva une difficulté, et alla au temple pour prier Avalokitésvara. En entrant dans le temple, il trouva qu’il y avait un homme qui ressemblait à Avalokitésvara à s’y tromper, devant la statue de Avalokitésvara en se prosternant.Cet homme demanda : “Es-tu Avalokitésvara ?”Celui-là répondit: “Oui, je suis précisément Avalokitésvara-même.”Cet home demanda encore: “Mais, pourquoi tu fais appel à toi-même?”Avalokitésvara répondit en riant : “J’ai aussi trouvé une difficulté. Mais je sais que mieux vaut compter sur soi-même que sur autrui.”« Lecteur », 2003.18。

法国小短文

法国小短文

法国小短文第一篇:法国小短文Hello!every one, today I want to introduce you to a beautiful place.Do you know where it is? Maybe not.Right, is the Paris in france.Many people know that Paris has the Eiffel Tower, but Paris is not just a tower, there are many famousplaces.You can take a walk along the Seine River, drinking sweet wine, taste French food, and then through the ninth bridge, came to the city of the island, and then you will be the most famous landmark of Paris saw the show in your eyes--Notre DameCathedral.Your visit in Paris has only just begun.I think you'll love this ancient and romantic city.That is all.Thank you.第二篇:法国小短文Hello!every one, today I want to introduce you to a beautiful place.Do you know where it is? Maybe not.Right, is the Paris in france.Many people know that Paris has the Eiffel Tower, but Paris is not just a tower, there are many famous places.You can take a walk along the Seine River, drinking sweet wine, taste French food, and then through the ninth bridge, came to the city of the island, and then you will be the most famous landmark of Paris saw the show in your eyes--Notre Dame Cathedral.Your visit in Paris has only just begun.I think you'll love this ancient and romantic city.That is all.Thank you.第三篇:全国小教书法作品展“庆祝建党90周年”全国小学教育专业大学生书法作品邀请展邀请函各兄弟院校:为庆祝中国共产党成立90周年,颂扬中国共产党的丰功伟绩,加强师范生教师基本功训练,集中反映全国小学教育专业书法技能教学成果,促进兄弟院校之间交流,加强特色校园文化建设,首都师范大学初等教育学院、上海师范大学教育学院、哈尔滨学院教育科学学院联合举办“庆祝建党90周年”全国小学教育专业书法作品邀请展,面向全国小学教育专业院校征集学生书法作品。

法语小故事(病人与金龟子)

法语小故事(病人与金龟子)

Le malade et le scarabée(病人与金龟子)Al Qazwînî1raconte:Un homme vit un jour un scarabée.Il se dit:-«Quelle est la volontéde Dieu de l’avoir créé?Est-ce pour sa belle forme ou pour sa bonne odeur?...»Alors Dieu le Très-Haut l’affligea d’une ulcération que les médecins furent incapables de soigner,si bien qu’il désespéra,lui-même,de guérir.Mais voici qu’un jour il entendit la voix d’un médecin ambulant,un«turuqî»,proposantàgrands cris ses services,dans la rue.-«Amenez-le auprès de moi,ordonna-t-il,afin qu’il considère mon cas.»-«Que feras-tu d’un«turuqî»,lui rétorqua-t-on,alors que les médecins les plus habiles n’ont rien pu faire pour toi?»-«Il me le faut absolument,affirma le malade.»On l’amena.Lorsque le médecin ambulant vit l’ulcération,il demanda qu’on lui apportât un scarabée.Les assistants se mirentàrire.Le malade se souvint alors des propos qu’il avait tenus un jour en voyant le scarabée.Il leur dit:-«Apportez-lui ce qu’il demande,il connaît bien son métier.»Ils lui apportèrent le scarabée.Le médecin le brûla et répandit ses cendres sur l’ulcération.Et celle-ci guérit,avec la permission de Dieu Très-Haut.Le malade dit alors aux assistants:-«Sachez que Dieu Très-Haut a voulu m’apprendre que la plus vile de ses créatures peut devenir le remède le plus puissant.»。

精选法语小故事(小猫咪)

精选法语小故事(小猫咪)
hatte( Il était une fois une femme qui était bien malheureuse car elle n'arrivait pas à avoir un enfant. Elle était mariée depuis longtemps et, malgré ses prières, sa maison était triste, sans joie, sans vie. Un jour, elle était si triste qu'elle éclata en sanglots et s'écria : Dieu tout-puissant, toi qui peut tout, aie pitié de moi ! Je t'en supplie, envoie-moi un enfant, même tout petit, même une chatte me ferait plaisir ! Oui, même une chatte ! Dieu l'entendit et exauça son voeu. Neuf mois plus tard, elle mit au monde une petite chatte d'un blanc éclatant avec un tout petit point noir sur la joue. La femme fut très heureuse et passa son temps à élever sa chatte qu'elle aimait d'un amour infini. Et la chatte devint de plus en plus belle, charmante et agréable. Quand elle eut grandi et fut devenu raisonnable, la mère laissa la chatte aller se promener en ville. La jolie chatte aimait découvrir tous les spectacles de la ville, de la rue, des marchés. Un jour, elle voulut visiter le jardin du palais royal. Devant la porte, un jardinier l'arrêta : Où vas-tu ainsi ? Le jardin est interdit aux chats de ton espèce. La chatte prononça des mots dans une langue incompréhensible et le jardinier se retouva renversé, la tête au sol, les pieds en l'air, sans pouvoir bouger ni crier. La chatte alla vers des pommiers, elle quitta sa peau de chatte et devint une très belle jeune fille. Elle remplit son panier de pommes, remit sa peau de chatte et quitta le jardin en fredonnant une chanson. Le jardinier se retrouva sur ses pieds sans comprendre ce qui s'était passé. Les jours suivants, la chatte retourna dans le jardin du roi et tout recommença. A la fin, le jardinier pris peur et alerta le prince. Le lendemain, celui-ci alla se cacher dans le jardin. Il vit la chatte arriver, il entendit ses paroles bizarres et vit le jardinier tomber à terre sans

精选法语小故事(公主和老鼠)

精选法语小故事(公主和老鼠)

La princesse et la souris(公主和老鼠)Ilétait une fois une princesse,fille de roi.Elle se prénommait Safia. Son père et sa mère l'aimaient tellement qu'ils ne lui auraient rien refusé.Un jour,un magicien arriva au palais en demandant asile:il prétenditêtre un savant professeur,pourchassépar ses ennemis,et qu'il n'avait aucun endroit oùaller pourécrire un livre très important.«Mon cher professeur»,dit le Roi,«vous aurez ici une pièceàvotre disposition et tout ce que vous pourrez souhaiter pour pouvoir terminer votre ouvre.»Le magicien vint donc s'installer avec ses sortilèges et ses formules magiques,en se faisant passer pour un savant professeur.Chaque vendredi,quiétait le jour de repos dans ce payséloigné,le magicien présentait ses hommages au Roi etàsa cour,mais il convoitait secrètement le trône royal.Un jour il se déguisa en vieille femme et parcourut les jardins ombragés du palaisàla recherche de Safia.«Princesse»,dit-il,«permettez-moi d'être votre lingère,car je sais laver le lin et la soie mieux que personne au monde,et je le ferais pour presque rien si je pouvais servir votre Grandeur.»«Chère femme,»dit la princesse Safia,«Je devine que vousêtes une pauvre créature et votre situation m'afflige.Venez me voir dans mes appartements et je vous donnerai du lingeàlaver.»C'est ainsi que le magicien déguisésuivit la princesseàl'intérieur du palais,et avant même qu'elle ait pu s'apercevoir de quoi que ce soit,il l'avait enfermée dans un sacàlinge et s'enfuit aussi vite qu'il le put.Il amena la Princesse dans son appartement.Il murmura un sort qui la rendit aussi petite qu'une poupée et il la cacha dans un placard.Le vendredi suivant,il se présentaàla Cour comme d'habitude et trouva le palais tout entier en proie au tumulte.«La Princesse Safia a disparu,et Sa Majestéa presque perdu la tête.Tous les jeteurs de sorts ont essayéde découvriràl'aide de leurs pouvoirs magiques oùelle pouvaitêtre mais aucun n'a trouvéquoi que ce soit»,dit le Grand Vizir.Le méchant magicien sourit car il savait que son sortilègeétait si puissant que personne dans tout le pays ne pourrait le contrer tant qu'il serait en vie.Le jour suivant,alors que la Reineétait en train de pleurer,le magicien entra,déguiséen lingère.Il la fourra dans un sacàlinge et l'emporta dans son appartement.Il la transforma en poupée pas plus grosse que son pouce.«Ha-Ha!»,ricana le magicien,«maintenant je vais capturer le Roi etc'est moi qui dirigerai le pays.»Donc,le jour suivant,il attendit que le Roi parte se reposer,épuiséet tourmentépar la disparition de la Reine,et,déguiséde la même façon, il captura le Roi.Il le transforma lui aussi en poupée pas plus grosse que la Reine et l'enferma dans le placard.C'est alors que,toute la famille royale ayant disparu,les courtisans commencèrentàpleurer etàgémir;ils se rendirent en grand nombre àl'appartement du magicien pour lui demander conseil.«Vousêtes un homme de science»,dit le Grand Vizir,«vous devez connaître beaucoup de choses.Pourriez-vous nous dire ce que nous devons faire?»«Jusqu'àce que le Roi,la Reine et la Princesse réapparaissent, laissez-moi vous diriger»,dit le magicien,et le peuple approuva.C'est ainsi que durant une longue période le méchant magicien gouverna le pays et amassa une grosse fortune car les habitants lui apportaient tout l'or du pays.Sans arrêt il envoyait des troupes qui parcouraient le pays dans tous les sensàla recherche du Roi,de sa femme et de sa fille.Mais bien sûr personne ne trouvait rien.Cependant,un jour,une souris arriva jusque dans le placard oùétait cachée la Princesse Safia.Quelle ne fut pas sa surprise d'entendre celle-ci lui dire,«Souris,souris,creuse un trou dans ce placard pour que je puisse m'échapper,car le méchant magicien qui m'a jetéce sort ne me laissera jamais sortir,et je mourrai».«Quiêtes-vous?»demanda la souris.«Mon père est le Roi et il vous récompensera généreusement.Vous aurez du fromageàvolontépour le restant de vos jours»,dit la Princesse.«Qu'Allah ait pitié!»dit la souris.«Sa Majestéle Roi a disparu,la Reine aussi et le magicien est maintenant sur le trône».«Oh non»,gémit la Princesse,«que leur est-il arrivé?Le méchant magicien les aurait-il aussi capturés?»«Attendez ici»,dit la souris,«je vais jeter un coup d'oil dans les autres parties du placard».Et bien entendu,elle découvrit le Roi et la Reine transformés en poupées minuscules sur l'étagère du haut.Mais ilsétaient tout raides,comme s'ils avaientététaillés dans le bois,car le magicien avait utilisépour eux un sort différent.La souris retourna raconter sa triste découverteàla Princesse.«Hélas,hélas»,pleura la Princesse,«que puis-je faire alors,même si je m'échappe,que m'arrivera-t-il?»«Princesse»,dit la souris,«Je vais vous aider.Je vais aller voir une Femme d'une grande sagesse qui vit dans un arbre creux.Ce soir je reviendrai vous raconter ce qu'elle a dit.»La Princesse se cachaànouveau dans le placard et la souris disparut.A l'intérieur d'un grand arbre qui avait vu passer beaucoup d'hiversvivait la vieille Femme de grande souris arriva et lui demanda:«Mère,dites-moi ce que je dois faire pour aider la fille du Roi qui aététransformée en poupée par le magicien.Elle espère s'échapper par un petit trou que j'aurais creusédans la porte.J'ai découvert que le Roi et la Reine sont dans le même placard, métamorphosés en poupées de bois pas plus grosses que votre pouce.»«Ditesàla fille du Roi qu'elle doit venir ici quand la lune sera haute et que je l'aiderai»,dit la Femme de grande sagesse.La nuit tombée,la souris retourna dans le placard et creusa le bois pour permettreàSafia de sortir par le Princesseétait si petite qu'il lui fut facile de courir hors du palais sans se faire remarquer par les gardes.Quand la lune se leva et que le jardin fut inondéde lumière, la minuscule Princesse se glissa dans l'arbre creux que lui avait montréla souris.«Entrez,fille du Roi»,dit la femme de grande sagesse.«J'ai trouvéla réponseàvos questions dans mes livres de magie.»La souris faisait le guetàcôtépour s'assurer que personne n'arrivait,et Safia s'assit sur un petit tabouret tandis que la vieille femme lisait son grand livre de magie.«Vous devez marcher jusqu'àla croisée des chemins et dans un champ des environs vous verrez un cheval de couleur orange,déjàsellépour un voyage.Sautez sur son dos,après lui avoir fait manger une graine d'herbe magique».«Oùvais-je trouver la graine d'herbe magique?»,demanda la Princesse.«Je vais vous la donner»,dit la femme de grande sagesse,en cherchant dans un tiroir.«Que dois-je faire une fois sur le cheval?»demanda Safia.«Fille du Roi,vous devez lui murmureràl'oreille,Emmène-moi,cheval orange,làoùpousse le poirier sacrépour que je puisse rapporter une poire de sa branche la plus haute»,dit la vieille femme en reposant son livre sur l'étagère.«Et ensuite je retrouverai ma taille normale?»demanda la Princesse.«Quand le méchant magicien sera mort et pas avant vous retrouverez votre taille normale»,dit la Femme de grande sagesse.«Vous devez remonter sur le cheval orange et chevaucher jusqu'àce vous atteigniez le puits de l'Ogre Vert.Murmurezàl'oreille droite du cheval et vous y parviendrez avant même de le savoir.Jetez la poire au plus profond du puits car l'âme du méchant magicien est cachée dans cette poire et si elle tombe dans l'antre de l'ogre celui-ci la dévorera.Ainsi le magicien mourra.»«Qu'arrivera-t-il ensuite?»,voulut savoir la Princesse.«Ensuite,toutes les créatures transformées par le magicienretrouveront leur forme originelle et tout sera comme avant.»Et la femme de grande sagesse lui mit une graine d'herbe dans la main. La minuscule Princesse remercia donc la Femme de grande sagesse, dit au revoiràla souris et courut au clair de lune jusqu'àla croisée des chemins.Elle vit,comme le lui avait dit la vieille femme,un cheval de couleur orange,avec une belle crinière et une queue dorées,qui attendait dans le champ,harnachéet sellé.«Cheval orange!Cheval orange!»l'appela Safiaàvoix basse.«Voici la graine d'herbe magique.Emmène-moi jusqu'au poirier sacré,pour que je puisse attraper la poire la plus haute».Le cheval de couleur orange baissa la tête pour avaler la graine.Puis il baissa la têteànouveau pour permettreàSafia de grimper sur son dos en se cramponnantàla crinière dorée.Elle s'installa sur la selle du mieux qu'elle put.Le cheval hennit deux fois,puis,agitant la tête,se mitàgaloper plus vite que le vent.En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire,Safia se retrouva au milieu d'un beau verger rempli de cerisiers,de pruniers et d'arbres couverts de baies mais il n'y avait làqu'un seul poirier.«Le voici»,dit le cheval,et debout sur la selle Safia tendit le bras vers les branches.Elle attrapa une poire sur la plus haute branche et la déposa délicatement dans la besace.«Emmène-moi jusqu'au Puits de l'Ogre vert»,murmura-t-elleàl'oreille droite du cheval.Le cheval orange fit un signe de la tête et s'élança tel le vent;ses sabots allaient si vite qu'ils semblaient ne pas toucher terre.Derrière trois palmiers,il y avait un puits.Au clair de lune,Safia vit,qu'àl'intérieur du puits,il y avait la tête d'un ogre,aussi grosse qu'un potiron avec des yeuxénormes et tout ronds et une grande bouche.Elle se dépêcha de prendre la poire contenant l'âme du magicien et la jeta directement dans la bouche de l'Ogre vert. Immédiatement l'Ogre dévora la poire et Safia se mitàgrandir.Elle avait désormais retrouvésa taille normale-le méchant magicienétait mort.Le cheval la ramenaàla croisée des chemins et alors qu'elle s'apprêtait àle remercier il disparut dans un grand bruit de tonnerre.Elle courut jusqu'au palais puis dans la pièce oùsa mère et son père étaient emprisonnés.Elle découvrit que le Roi et la Reine,ayant repris leur taille normale,étaient très intrigués de se retrouver dans un placard.Elle leur expliqua rapidement toute l'histoire.«Appelez le Capitaine de la Garde!»,ordonna le Roi.«Arrêtez le magicien et qu'il soit décapité».Mais quand les soldats arrivèrent dans la chambre royale pour arrêter le faux roi,ils s'aperçurent qu'ilétait mort au moment-même oùl'Ogre Vert avait mangéla poire,comme l'avait prédit la Femme de grandesagesse.Il y eut de grandes réjouissances au palais et Safia décida d'aller remercier la Femme de grande sagesse qui vivait dans l'arbre creux. Mais de l'arbre il n'y avait plus trace-il avait disparu,c'était comme s'il n'avait jamais existé.Safia n'en croyait pas ses yeux,elle regardait partout lorsqu'un beau et grand jeune homme,richement vêtu, s'approcha d'elle.«Soyez bénie,chère Princesse»,dit-il,«car c'était moi la souris, victime d'un enchantement,qui a creuséle trou qui vous a permis de vousévader et d'aller chercher la poire qui contenait l'âme du magicien».«Ainsi donc c'était vrai,ce n'était pas un rêve!»s'écria Safia.«Je venais trouver la Femme de grande sagesse et elle a disparu».«Elle vit dans un arbre enchanté»,expliqua le jeune homme,«et comme elle veut désormais séjourner ailleurs,l'arbre aétédéracinéet déplacésans qu'il en reste aucune trace».«Venez avec moi voir mon père afin qu'il puisse vous remercier,»dit Safia.Le jeune homme l'accompagna donc et en s'agenouillant devant le Roi il expliqua qu'ilétait un prince qui avaitététransforméen souris par le magicien.«Vous resterez ici etépouserez ma fille»,promit le Roi,«et vous dirigerez le royaume après moi,puisque ne n'ai pas de fils».Et c'est ainsi que les choses se passèrent,les fêtes du mariage durèrent sept jours et sept nuits,et Safia et sonépoux vécurent heureux durant de longues années。

法语1课文和翻译

法语1课文和翻译

121. La chambre 205205 号房间(Xiao ZHANG rencontre un jeune homme au premier étage)小张在二楼遇见一个年轻的小伙子。

ZHANG: Pardon, Monsieur, la chambre 205, s'il vous plaît?张:对不起,先生,请问205房间在哪儿?Jeune homme: C'est au fond du couloir, la deuxième porte à gauche.年轻人:在走廊止境,左侧第二道门。

Zhang: Merci, Monsieur.张:谢谢,先生。

J. H: De rien.年轻人:不客气。

2. La chambre de LI Ming李明的房间(Xiao ZHANG frappe à la porte de la chambre 205)小张敲响205房间的门。

铛铛当...-Il y a quelqu'un?-有人吗?-Oui, entrez, s'il vous plaît.-有,请进。

-Bonjour, cher ami.-你好,亲爱的朋友。

-Ah, c'est toi, Xiao ZHANG! Bonjour. Comment ça va?-啊,是你啊,小张!你好,怎么样?-Très bien, merci. Et toi?-专门好。

你呢?-Comme tu vois! Assieds-toi!-如你所见,挺好。

请坐。

-Tu n'habites pas seul, je pense?-我看你不是一个人住吧?-Non, j'habite avec LIU, un camarade de classe.-不,我和刘住一路,他是我班上的同窗。

趣味法语学习法语笑话带翻译

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1、郑国有个人想买鞋,他量好脚的尺码后直奔鞋店,但到了鞋店他一摸口袋:“哎呀我给忘了!”于是急忙回家。

1, Zheng quelqu'un veut acheter des chaussures, chaussures de taille à après une bonne quantité de son pied, mais au magasin de chaussures il a touché la poche: "Oh, j'ai oublié!Et hâte de rentrer.有人拉住他笑道:“为什么不直接用你的脚去试穿呢?你宁愿相信尺码也不相信自己的脚,不觉得太死板了吗?人一定要学会灵活变通!”Quelqu'un a tiré il sourit et dit: "Pourquoi ne pas essayer avec ton pied?Vous préférez croire la taille ne crois pas ses pieds, ne pense pas trop rigide?Les gens doivent apprendre àflexibilité! "郑国人:“成语故事都是骗人的!你能放手吗?我是忘了带钱。

”Les gens: "l'histoire est un mensonge!Tu peux laisser tomber?J'ai oublié de prendre de l'argent ".2、某人穿越到先秦:“里边请,请问客官是打尖还是住店?”2, quelqu'un à pré -: "s'il vous plaît, excusez - moi, Monsieur, c'est l'hôtel de pincement ou?"“我吃面!”"Je mange des nouilles!"“那抱歉,这位客官,面条可是要到宋朝的款式才能定形呢,小店现在还没有”"Désolé, le monsieur, nouilles mais à la chanson de styles pour amorphe, le magasin, il n'y a pas de"“什么鸟店!连碗面都没有,馒头包子总有吧,上一屉!”"Quel magasin d'oiseaux!Pas même un bol de nouilles, Bun Baozi toujours, un tiroir! "“这位爷,也没有,这得等到蜀汉诸葛丞相伐孟获才有,抱歉了您呢……”"Le père, il n'y a pas, il doit attendre jusqu'à ce que le Premier Ministre l'a Shu - Meng, désolé de vous?"“擦!那你们不会只供应白米饭吧!”"Effacer!Tu ne l'approvisionnement du riz blanc! "“抱歉,咱这是关中,水稻啊,得过了长江才能种,咱这也没有……”"Je suis désolé, il est la, riz, ah, trop Yang peut, il n'a pas de..."“要死了,来个大侠套餐吧,二两女儿红,半斤熟牛肉……你捂我嘴干嘛!”"Meurs, un guerrier d'emballages, seconde fille rouge, un demi - kilo de viande cuite...Je vous couvre la bouche quoi! " “客官,轻点声!私宰耕牛那可是大罪,被人告了可是充军流放的罪过,万万不敢啊!”[来自我要看笑话]"Monsieur, doucement!C'est un péché mortel 私宰 le bétail a été accusé, mais faute de l'exil en exil, absolument pas! "“得得得,酒我也不喝了,茶水总有吧?”"D'accord, je n'ai pas bu de vin, thé, il y a toujours?" “茶?那玩意儿得汉朝才有,哪怕到唐朝也是士大夫喝的,咱这儿也没有……”"Thé?C'était de la dynastie Han, même à la dynastie Tang aussi érudit de boire, j'ai ici il n'y a pas de "...“你他娘的到底有什么?”"Tu es sa mère?“粟米的窝窝饼,可以沾肉酱,烫白菜。

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Celle qui ne voulait pas se marierM on histoire se passe il y a très longtemps,dans un pays blanc balayéparla neige et le vent:le Toit du Monde.Le long de la banquise,un petit village d'iglous s'est construit pour l'hiver.Et tout au bout de ce village,dans le plus petit iglou,un chasseur vit seul,avec sa fille,Sanna.Éclairés par la lampeàhuile,ils se partagent une nageoire de phoque.«R egarde-moi,Sanna.Je suis vieux et je reviens toujours bredouille dela chasse.Nous mangeons ce soir nos dernières provisions.Il faut que tu te maries.Il y a beaucoup de bons chasseurs qui rêveraient de t'épouser et qui pourraient t'apporter chaque jour un nouveau phoqueàdépecer.Pourquoi ne veux-tu pas te marier?»Mais,une fois de plus,sa fille ne lui répondit que par un silence gêné.U n jour,lasséde la voir refuser tous les hommes qui se présentaient,sonpère finit par lui dire:«Épouse donc notre chien et partez tous les deux loin du village,sur cetteîle que l'on aperçoit là-bas!»La jeune femme, résignée,s'exila sur l'île avec son mari chien.Très vite,la nourriture vintàmanquer.Le chien avaitétéun précieux atout pour son maître,mais maintenant qu'ilétait seul,ilétait incapable de rapporter du gibier.L es jours passèrent ainsi.Sanna tentait tant bien que mal de se nourrir dequelques poissons pêchés,mais cela ne contentait pas son estomac qui criait famine de plus en plus souvent.Les choses s'aggravèrent lorsqu'elle tomba enceinte puis accoucha d'une portée de petits chiens.Sanna ne parvenait plusàpêcher suffisamment de poissons pour nourrir toute la famille.Un matin,elle demandaàson mari d'aller chez son père chercher de la nourriture.Elle lui accrocha sa petite bourseen peau de phoque autour du cou et lui dit de nager jusqu'au village.Le chien arriva très affaibli sur le rivage,oùil trouva le père de Sanna,occupéàdépecer un phoque:«Bonjour maître.C'est ta fille qui m'envoie.Elle a deux choses importantesàte dire.La première,c'est que tu es devenu grand-pè seconde,c'est que ta fille et tes petits-enfants ont très faim.Je suis venu demander ton aide.»Le père emplit la bourse de viande de phoque et invita le chienàrevenir chaque jour chercher de la nourriture.Ainsi,chaque matin,le mari chien quittait l'île pour le campement paternel et chaque soir,il revenait avec quelques victuailles:du phoque,du caribou, du poisson,et parfois même de la viande d'ours.U n jour,le père décida d'aller rendre visiteàses petits-enfants.Il ne lesavait jamais vus et avait hâte de les rencontrer.Dès qu'il accosta sur l'île,les chiots accoururentàsa rencontre,pour fêter son arrivée.Ils l'accueillirent comme le font souvent les chiens avec leur maître:en lui mordillant les mollets et en lui donnant des grands coups de langue.Mais le père de Sanna n'apprécia pas du tout cet accueil.Il réalisa qu'il ne souhaitait pas avoir des chiots comme petits-enfants.Il aurait mille fois préféréêtre accueilli par des enfants qui lui auraient sautéau cou et qui l'auraient couvert de vrais baisers. Puis il trouva sa fille dans unétat déme son mari chien ne pouvait pas chasser,elle mangeait rarementàsa faim et elle n'avait pas de peaux d'animaux pour se coudre des vêtements chauds.Le père de Sanna déposa la nourriture qu'il avait apportée et reprit la mer.Tout en ramant,il réfléchissaitàune manière de mettre finàcette situation intolérable.L e lendemain,lorsque le mari chien vintànouveau chercher de lanourriture,le père remplit la petite bourse accrochéeàson cou en y introduisant non pas de la viande mais de lourdes pierres.Le chien repartit àla nage,mais,alourdi par le poids de la bourse,il s'épuisa rapidement et se noya.Le père devait désormais approvisionner lui-même quotidiennement sa fille et ses petits-enfants.Mais Sanna craignait qu'il tueégalement ses bébés.Elle voulut ledissuader de revenir les voir et conseillaàses enfants:«La prochaine fois que votre grand-père arrivera,allezàsa rencontre sur le rivage,léchez et mordillez son kayakpuis donnez-lui des petits coups de dents de plus en plus féroces.»Son plan fonctionnaàmerveille:apeurépar l'accueil des chiots,le père de Sanna fit demi-tour et ne revint plus jamais sur l'île.Maisàpeine ce dangerécarté,un autre survint aussitôt:le spectre de la famine revint hanter la petite famille.En renonçantàleur principale source d'approvisionnement,Sanna et ses chiotsétaient de nouveau confrontésàla faim.Alors,pour sauver ses enfants chiens,Sanna décida de les envoyer au loin.Elle les répartit en trois groupes et donnaàchacun desconsignes précises.Elle fit d'abord partir un premier groupe,muni d'arcs et de flèches,vers la forêt boréale,en lui disant:«Partez vers le sud et restez dans la forêt,vous y trouverez toujours de quoi vous nourrir!»C'est ainsi que ces bébés chiens devinrent les ancêtres des Amérindiens.Sanna prit ensuite une semelle de ses bottes et prononça des paroles si puissantes que la semelle se transforma enumiaq,une très grande embarcation en peau de phoque.Elle y déposa les chiots du second groupe en leur disant:«Partez vers l'est,au-delàde cette grande mer,et ne revenez que sur de grands navires!»Ils partirent sur les flots et devinrent les ancêtres des Européens.Quant aux chiots du troisième groupe,elle préféra finalement les garder près d'elle,sur le territoire des Inuits.Ils restèrent donc sur place et se transformèrent en ijiqqat,les esprits invisibles de l'intérieur des terres.S anna,elle,retourna vivre dans le campement familial,sous l'igloupaternel.Elle resta veuve très longtemps,refusantànouveau les hommes qui la demandaient en mariage,jusqu'au jour oùun belétranger vint au village pour la séduire…。

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